Noussommes indéniablement le fruit de tout cela, mais il nous appartient de faire fructifier nos bons côtés aux dépends de nos moins bons, pour cela il faut savoir qui l'on est, ce que l'on Beaucoupse contentent de celui intégré à Windows et c’est loin d’être un mauvais choix: Nom: mcafee gratuit sur clubic: Format: Fichier D’archive: Système d’exploitation: Windows, Mac, Android, iOS: Licence: Usage Personnel Seulement: Taille: 65.19 MBytes: Genericom Le nombre de logiciels proposés par Genericom: Sélection de sites pour: Les Lapremière chose à faire lorsqu’on prévoit de choisir son dressing, c’est de faire l’inventaire de tout ce qu’on souhaite y ranger.Procédez par catégories de vêtements pour Bonjourla compagnie ! Je me suis penchée sur un sujet qui est pas mal ressorti dans les messages reçus : Comment s'habiller quand on est petite et qu'on n'a pas forcément de forme ? Il est vrai que si les silhouettes longilignes en font rêver plus d'une, lorsque l'on est petite, cela peut s'avérer compliqué. La petite taille, peut rapidement nous faire paraitre plus jeune qu'on Lechef, c’est celui qui sait à la fois se faire obéir et se faire aimer. Ce n’est pas celui qu’on impose, c’est celui qui s’impose. Pour commander aux hommes, il faut savoir se donner. [8] Être chef, ce n’est pas seulement faire une œuvre, c’est surtout faire des hommes, les conquérir, les unir ; les aimer et en être aimé. Ainsi choisit-on d’être celui qu’on est ? I. On ne choisit pas d’être celui qu’on est : le rôle de l’inconscient et de l’influence On ne choisit pas d’être celui qu’on est. En . Introduction Choisit-on d'être celui qu'on est ? Une telle question pourrait sembler absurde dans la mesure où l'on ne voit pas qui d'autre que soi serait à même de décider de ce qu'il est. Pourtant, ce que l'on est, c'est-à-dire son essence et sa manifestation dans l'action, son existence, peut être influencé, voire déterminé, par une série de causes extérieures, à commencer par l'éducation qui façonne en fonction de critères sociaux, géographiques, religieux… Ce que l'on est physiquement est aussi conditionné par son héritage génétique. Comment l'individu peut se constituer sa propre identité alors que sa liberté semble contredite par une série de déterminismes ? Si l'on peut établir dans un premier temps que le propre de l'homme est justement d'être un sujet, c'est-à-dire un être capable de juger et de s'autodéterminer, un être responsable de par sa liberté, on constate cependant qu'il est aussi soumis à des déterminismes. On se demandera alors si l'on peut choisir d'être celui que l'on est malgré la causalité extérieure. 1. L'évidence d'être soi A. Être soi, c'est avoir une identité Info Il est possible d'approfondir cette notion d'identité en consultant le repère identité/égalité/différence. Pour choisir d'être ce que l'on est, il faut d'abord savoir ce que l'on veut être, connaître ses désirs, et ensuite être capable de se reconnaître, d'accéder à une certaine conscience de soi. Être soi et avoir conscience de soi constituent le principe de l'identité. Par définition, l'identité est ce qui demeure identique à travers les changements du temps, à travers les différentes représentations que je me fais ou que les autres se font de moi. L'identité n'est pas seulement la marque de mon ipséité et de mon unité, mais aussi de mon unicité, c'est-à-dire le fait d'être unique, différent des autres. Être soi n'est donc pas seulement exister selon ses aspirations mais être capable de se distinguer des autres. B. Être soi, c'est être un sujet moral et juridique, c'est faire des choix Attention Ici l'étymologie de responsabilité est intéressante car elle vient du latin respondeo, répondre, qui ramène à l'idée de répondre de ses actes devant autrui et la loi. À ce titre, l'homme se définit comme sujet un être capable de juger, un animal rationnel », selon une définition classique en philosophie, et par là, un être capable de juger ses actions. L'homme n'est pas seulement sujet de la connaissance mais sujet de l'action. Il est un sujet moral et juridique. Il peut donc se fixer les fins de ses actions et établir par sa réflexion les moyens d'y parvenir. C'est pour cela que le sujet moral est un sujet juridique, responsable devant la loi, c'est-à-dire qui répond » de ses actes. C. L'homme existe selon son essence rationnelle Il semble alors évident que l'on choisit de faire ce que l'on fait et dans la mesure où ce que l'on fait exprime ce que l'on est, on choisit d'être » au sens d'exister », de s'insérer dans la réalité. Être ce que l'on est, consiste ici à exercer sa qualité de sujet en portant un jugement déterminant sur le monde et sur soi-même. L'existence de l'homme dans le monde, son action sur la réalité, est l'expression de sa nature rationnelle, l'œuvre de sa capacité à user de sa raison. Aristote dans L'Éthique à Nicomaque attribue à l'homme prudent la capacité à délibérer afin d'ajuster au mieux les moyens aux fins de son action. Ainsi il semble que l'on choisisse d'être ce que l'on est, que l'on existe et que l'on construise son identité en mettant en œuvre ce qui constitue l'essence de l'homme, la raison, afin de faire des choix. En ce sens, on ne peut que choisir d'être soi, d'être ce que l'on est. [Transition] Pourtant, ce que l'on est n'est pas toujours l'expression de notre volonté. Nous avons une histoire et ce que l'on est peut résulter d'un parcours, d'une éducation qui nous a été en partie imposée par autrui. Peut-on alors ne pas choisir d'être ce que l'on est ? 2. À quelles conditions peut-on choisir d'être celui qu'on est ? A. Les différents déterminismes et l'illusion du libre-arbitre Il est aussi évident que l'on ne choisit pas quand et où l'on naît. On porte d'emblée en nous la marque de notre origine et de notre histoire. La psychanalyse avec Freud insiste sur le rôle de la toute petite enfance sur la constitution de la personne. Marx et les sociologues insistent davantage sur le déterminisme économique et social être issu d'une certaine catégorie socio-professionnelle engage un certain type de comportement, une certaine manière de penser. Même physiologiquement, le déterminisme biologique et génétique rappelle que l'on ne naît pas tous avec la même apparence, avec la même santé, avec les mêmes performances physiques… L'homme ne peut-il échapper aux lois naturelles ? Il ne peut être, selon Spinoza dans L'Éthique, un empire dans un empire », une exception. Le libre-arbitre ne serait qu'une illusion comme une pierre que l'on aurait lancée dans les airs et qui prendrait conscience de son mouvement, les hommes se croient libres à tort simplement parce qu'ils ont conscience de leurs actions mais qu'ils ignorent les causes qui les déterminent. B. La possibilité d'être ce que l'on est malgré les déterminismes Affirmer que l'homme n'est pas libre d'être celui qu'il est parce qu'il serait le jeu de tous les déterminismes pose le problème de sa responsabilité. En effet, si l'homme agit selon des lois qui s'imposent à lui, alors il est comme un pantin articulé, il perd sa qualité de sujet. Il ne peut plus faire l'objet d'un jugement moral et juridique car on présuppose alors qu'il n'a pas le choix. Or si le déterminisme existe c'est un présupposé nécessaire de la science qui établit des lois de la nature, il n'est peut-être pas absolu. En ce sens, Descartes parvient dans ses Méditations métaphysiques à concilier l'existence de chaînes de causalité et la liberté humaine, dans la mesure où être libre serait le fait d'agir en connaissance de cause. Le plus haut degré de la liberté ne serait pas la liberté d'indifférence, celle qui consiste à n'être déterminé par rien, mais la liberté éclairée qui consiste à appliquer sa volonté sur des idées claires et distinctes que lui présente l'entendement. On peut alors choisir ce que l'on est grâce à la connaissance et la maîtrise des options même limitées qui se présentent à nous. C. L'homme reste toujours libre d'affronter les obstacles Choisir d'être celui qu'on est ne consisterait donc pas à être au-delà des déterminismes, à être vierge de toute causalité extérieure, car l'homme est toujours et déjà dans une situation » donnée selon Sartre, mais à être capable de surmonter les obstacles, de se libérer d'une essence ou d'une étiquette que le monde et autrui tendent à imposer. Dans L'existentialisme est un humanisme, Sartre explique que l'homme existe d'abord, et qu'il se définit ensuite. Inscrit dans un perpétuel devenir, il peut constamment se redéfinir, il peut choisir d'être autre que ce qu'il a été ou cru être. Seuls ses propres actes le déterminent. Croire l'inverse serait faire preuve de mauvaise foi en renonçant à sa liberté et à ses responsabilités. L'homme en perpétuelle libération, en perpétuelle redéfinition serait en réalité celui qui n'a pas d'essence définitive et qui constamment choisit d'être celui qu'il est, même lorsqu'il refuse de changer par mauvaise foi, il n'a pas d'excuse », il est condamné » à être libre. Conclusion Conseil Veillez à reprendre les différentes thèses développées tout en montrant que leur articulation s'éclaire par l'analyse conceptuelle par exemple ici celui qu'on est » comme animal rationnel de la première partie ne se confond pas avec l'individu singulier de la seconde partie. Ainsi on choisit d'être celui que l'on est au sens où notre identité se constitue par des choix issus de notre raison au cœur de notre essence. Mais ici ce que l'on est se ramène à la définition d'un animal rationnel qui ne rend pas compte des particularités de celui » qui est. Or, l'individu est constitué par une histoire qui ne dépend pas de lui. Le déterminisme agit sur l'homme et fait de lui ce qu'il est devenu. Pourtant, on ne peut nier sa liberté, sa capacité à faire des choix le concernant sous peine de nier sa qualité de sujet. L'homme choisit d'être celui qu'il est, non pas parce qu'il pourrait faire tout ce qu'il veut, mais parce qu'il est capable de comprendre le déterminisme et de surmonter les obstacles. Votre semaine a été tranquille ? Moi aussi, presque. J’étais à la plage et j’ai mis de côté le roman que je lisais pour fureter un instant sur Twitter. J’y ai vu que HEC Montréal avait choisi de montrer une jeune femme voilée pour promouvoir une maîtrise conjointe avec l’Algérie. Dans l’univers publicitaire canadien, la femme voilée est désormais la norme lorsqu’on veut affirmer diversité et ouverture. Le gouvernement canadien le fait systématiquement. C’est au point où, à part le rare turban sikh, le voile musulman est la seule conviction affichée dans ces pubs. Il m’arrive de dénoncer cette prime à l’islam sur Twitter lorsque je la vois passer. Mais je n’avais encore jamais vu une institution québécoise francophone tomber dans ce panneau. Que des Algériennes voilées fassent une maîtrise à HEC, bravo. Qu’on en voie dans une photo de classe, super. Mais qu’une institution laïque, scientifique, vouée à l’égalité des sexes, choisisse sciemment une femme voilée pour se représenter, non. La jeune femme n’est pas en cause. HEC l’est. Il est répréhensible qu’une institution laïque passe outre au fait qu’elle ne doit normaliser dans ses pubs aucune conviction politique ou religieuse. Le facteur aggravant est que la pub est destinée à l’Algérie, où l’imposition du voile par les intégristes a laissé des traces. Parlez-en à Leila Lesbet, enseignante et féministe québécoise qui a quitté son pays natal en 2002, lorsque les intégristes l’ont menacée de mort. Elle dénonce l’ignorance abyssale » de HEC quant à l’histoire algérienne récente. Des milliers de femmes, de jeunes filles et d’adolescentes ont été violées, tuées, égorgées, éventrées, mutilées de la façon la plus barbare qui soit, et c’est ce symbole, dont nous gardons les stigmates à jamais et qui font partie de nos plus douloureux cauchemars, qui a été choisi par HEC Montréal. » Cette décennie noire » s’est terminée en 2002, et le voile n’est pas légalement obligatoire en Algérie. Mais il y a trois ans, dix jeunes Algériennes se sont suicidées, ne laissant qu’un message au lieu d’une corde pour se pendre, elles avaient utilisé leurs hidjabs. Cela a lancé un mouvement, les prisonnières du hidjab », des femmes qui affirment que la pression pour son port est omniprésente, emprisonnante. La situation est évidemment complètement différente à Montréal, où le voile, selon une intervenante interrogée dans ces pages, peut être un symbole féministe ». Je n’en doute pas. Des femmes peuvent porter le voile pour se distinguer, pour fuir l’hypersexualisation, pour faire un pied de nez à l’Occident, à François Legault, à leur famille non pratiquante, parce qu’elles trouvent ça beau, pratique, ou simplement parce qu’elles sont dévotes. Tous les cas de figure existent. Y compris celui du père montréalais d’origine algérienne reconnu coupable l’an dernier d’avoir voulu tuer ses quatre filles parce qu’elles souhaitaient s’habiller comme des Québécoises ». Ce despote domestique était d’avis que le voile signifiait, comme le disent les imams, modestie et soumission. Bref, le voile choisi — féministe ou religieux — et le voile contraint — y compris violemment — cohabitent à Montréal. Et si on ne dit rien alors qu’on assiste à la normalisation du voile dans des publicités gouvernementales et privées, ne donnons-nous pas aux intégristes des outils supplémentaires ? Alors, bon, comme je vous le disais, j’étais en vacances et j’ai écrit un tweet. Un excellent quotidien montréalais a décidé d’en faire une nouvelle. Cela m’a un peu étonné, mais pourquoi pas ? Quoi d’autre ? Ah oui, j’ai été insulté par quatre plumes du quotidien La Presse. D’abord, Yves Boisvert a affirmé dans un gazouillis que ma position subodore l’opportunisme politique ». Ce champion de la présomption d’innocence pense que je ne crois pas vraiment ce que je dis. Comme j’aime débattre mais pas insulter, j’ai répondu que je lui reconnaissais le droit de choisir d’être mesquin ». Sa collègue Rima Elkouri a eu la bonne idée de consacrer une chronique à la jeune femme sur la photo de HEC ; elle est super sympathique. Rima m’a aussi mis en contradiction avec une citation de mon livre Nous de 2007 où je me disais non préoccupé par la présence du voile ; c’est de bonne guerre. Maniant l’ironie, Rima m’a écrit Votre féminisme m’émeut. » J’ai répondu que son absence de compassion pour les femmes victimes du voile contraint en Algérie et à Montréal me désole ». Elle a attiré mon attention sur le livre qu’elle a écrit pour dénoncer le voile contraint en Iran ; je l’en ai félicitée. Mais elle m’a accusé d’instrumentaliser » les femmes voilées ; je n’ai pas compris en quoi je les instrumentalisais davantage qu’elle, puisqu’on écrit tous les deux sur le sujet. Puis, le chroniqueur Marc Cassivi m’a aussi accusé d’opportunisme » ; il ne m’a pas nommé, mais a parlé de s’enliser ». C’est comme un jeu de mots, voyez-vous. Le quatrième est un collaborateur régulier du grand journal de la rue Saint-Jacques Jocelyn Maclure. Homme brillant, il dirige une chaire de philosophie à McGill. Lui m’a traité d’islamophobe ; je lui ai demandé s’il comprenait que c’était un synonyme de raciste et qu’il qualifiait ainsi quelqu’un qui a simplement un point de vue sur la laïcité différent du sien. Il n’a pas relevé. J’ai finalement demandé à Rima ce qu’elle pensait de deux publicités canadiennes récentes, dont l’une de la Commission des droits de la personne, qui montrent de façon positive des fillettes voilées. J’attends sa réponse. Je comprends que ça demande réflexion. Tiens, j’ai une idée. Le 7 septembre se tiendra à Montréal le lancement du livre Lever le voile de Yasmine Mohammed, la Canadienne forcée de porter le voile intégral par son mari et qui dirige maintenant un réseau de femmes libérées du voile contraint, y compris chez nous, Forgotten Feminists. Ce lancement serait une chouette occasion pour qu’Yves, Jocelyn et Rima viennent célébrer avec moi le courage de ces femmes et qu’on en profite pour définir une position commune sur l’occasion de montrer des petites filles voilées dans des pubs gouvernementales. Je suis certain qu’on peut s’entendre. Marc tu peux venir aussi. jflisee Une version précédente de ce texte contenait des informations concernant la vie privée d’interlocuteurs cités. Nous les avons retirées. À voir en vidéo Résumé du document Si l'on part de l'expression Nous sommes libres de faire nos propres choix », nous pouvons penser que nous sommes libres de choisir qui l'on désire être. Ainsi nous pouvons affirmer que nos choix peuvent déterminer la personne que nous sommes et par conséquent déterminer la personne que nous sommes. Un être irresponsable, juste, honnête... Peut-on réellement affirmer que nous avons en notre possession la liberté et le pouvoir de choisir qui l'on est à partir de nos propres choix ? Peut-on penser que seul nos choix déterminent ce que l'on est ? Nos choix reflètent-ils notre identité ? ... Sommaire IntroductionI L'on devient ce que l'on veutA. La volontéB. Notre libertéII Les contraintesA. Le libre arbitreB. Les choixConclusion Extraits [...] Alors ne faut-il pas mieux se contenter de ce que nous offre la vie au lieu de toujours désirer plus ? Le philosophe Epicure propose dans Lettre à Ménécée une autre vision du désir et du bonheur. Pour Epicure nous ne devons pas rejeter tous nos désirs, dans cette lettre il explique le fait que tout plaisir est un bien mais qu'il ne faut cependant pas chercher à assouvir tout ses désirs car s'il nous arrive de ne pouvoir combler un désir, nous pouvons nous contenter de ce que l'on a. [...] [...] Nous venons de d'exposer différentes thèses sur la manière de gérer nos désirs. Certains philosophes comme SHOPENHOWER pense qu'il est préférable de ne pas assouvir tout nos désirs, d'autres pensent qu'il est préférable de n'assouvir que certains désirs. Enfin, Rousseau affirme que l'homme sans désirs n'est rien. Voici donc trois manières différentes de gérer ses désirs. On peut retenir qu'il est nécessaire d'assouvir ses désirs mais qu'il est préférable de ne pas tous les combler car il peuvent être source de frustration. [...] [...] Cependant d'autres philosophes ont un point de vue différent Pourquoi ne pas chercher à assouvir nos désirs ? Rousseau écrira dans La Nouvelle Héloise Malheur à celui qui n'a plus rien à désirer. Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. Dans ce roman à succès du XVII °siècle, Rousseau relate les amours contrariés de Julie et de Saint-Preux. Leur union est impossible à cause de l'ambition d'un père cruel qui impose à Julie un mariage de raison. Mais les deux amants ne perdent pourtant rien de leur flamme. [...] [...] D'après ce que l'on vient de démontrer, nous sommes libre d'une manière ou d'une autre de choisir d'être celui que l'on est. Soit par notre volonté qui nous pousse à faire des choix en vue d'actes qui inaugurent un projet soit par le fait que dés notre naissance nous ne sommes pas programmés à l'avance. Nous ne naissons ni lâche, ni généreux, ni misérable mais nous le devenons face à la somme de nos acte, au choix qui eux déterminent ce que l'on est. [...] [...] Alors pourrait-on être heureux sans désirs ? Pour être heureux faut rechercher à assouvir tout ses désirs, ou faut-il au contraire essayer de contrôler nos désirs ? Nos désirs sont-ils uns source de bonheur ou de malheur ? Si les hommes n'arrivent pas à atteindre le bonheur, à être heureux c'est parce qu'ils ont des désirs multiples et que parmi eux nombreux sont ceux qui ne pourront être satisfait. En effet, certains de nos désirs comme la santé ou bien la richesse ne dépendent pas entièrement de notre propre volonté. [...] Les compétitions de philatélie La pratique de la philatélie se fait essentiellement chez soi en faisant évoluer ses collections en fonction de ses centres d’intérêts. Cette pratique est grandement facilitée par la fréquentation d’une association philatélique où chacun peut trouver conseils et matières à discussion et à échanges. Mais la philatélie peut amener un philatéliste à présenter ses collections - ou des extraits significatifs de celles-ci - dans des manifestations spécifiques où elles peuvent être vues et appréciées par le plus grand nombre. Ces expositions constituent un vecteur majeur permettant la diffusion de la philatélie. Ces expositions philatéliques peuvent être "libres" mais sont le plus souvent compétitives. Dans ce cas, un jury est amené à se prononcer sur la qualité de la présentation en se basant sur divers critères. Ces expositions philatéliques compétitives, ouvertes à tous mais où brillent les philatélistes les plus acharnés, permettent de découvrir des trésors philatéliques amassés pendant de nombreuses années et constituent les joyaux de la philatélie en permettant à tout un chacun de se faire une idée de la richesse de ce hobby dans toute ses déclinaisons. En effet, comme il existe plusieurs manières de pratiquer la philatélie, il y a plusieurs manières de présenter les collections dans diverses catégories, appelées "classes", aux règles compétitives spécifiques. Les classes de compétition Dès lors qu’on souhaite se lancer dans la philatélie compétitive, en présentant ses collections dans des championnats du niveau local jusqu'au niveau international, il faut spécifier la "classe" dans laquelle on souhaite concourir. Autrefois la pratique de la philatélie était relativement homogène et consistait essentiellement en la collecte de différents timbres, selon ses centres d’intérêt, et en l’étude approfondie de ces derniers conditions de fabrications, variétés, etc.. Cette manière de collectionner est aujourd’hui qualifiée de "traditionnelle". Rapidement la pratique de la philatélie s’est diversifiée on a commencé par s’intéresser aux conditions d’acheminement du courrier "histoire postale" puis à des cas d’utilisation spécifiques "aérophilatélie" et autres avant, finalement, d’ouvrir en grand la pratique philatélie à d’autres manières de collectionner "philatélie thématique", "classe ouverte", .... Aujourd’hui la philatélie s’ouvre à des pratiques de collection "voisines" et donc à la cartophilie et à l'erinnophilie. Les différentes classes de compétition ... Les jurés Qui dit compétition dit jury ... et classement. Il y a Des compétitions aux niveaux départemental et régional, placées sous la responsabilité des Groupements. Des compétitions nationales supervisées par la FFAP. Des compétitions internationales placées sous la responsabilités des différentes fédérations de philatélie des pays hôtes. La participation à une compétition se traduit par l’attribution d’une note et d’une distinction ainsi que, pour les présentations les plus appréciées, divers prix et félicitations. Une note minimale est requise pour participer à un championnat de niveau supérieur.. Les jurés ... Les grilles de notation ... Les expositions philatéliques nationales et internationales Plusieurs expositions philatélique sont donc organisées chaque année en France ou dans divers autres pays d’Europe ou du Monde. Chacune de ces manifestations est le support d’un ou plusieurs championnats généralistes ou manifestations attirent, sur plusieurs jours, de nombreux compétiteurs et un vaste public. Les expositions nationales et internationales ... La compagnie des guides Lors des expositions nationales ou internationales le public peut parfois être étonné voire même resté perplexe devant la diversité des collections présentées. Il peut ne pas comprendre réellement l’importance des efforts de recherche mis en oeuvre par les compétiteurs et les infimes subtilités qui peuvent apparaître dans les diverses collections présentées. Depuis quelques années la Compagnie des Guides est là pour accompagner les visiteurs qui le désirent afin que ceux-ci puissent profiter pleinement de leur visite en pouvant répondre à toutes les questions, de quelque nature qu’elles soient, qu'ils peuvent se poser. La Compagnie des Guides ... Bonjour à tous, je suis en ce moment même en train de faire ma dissertation de philo. Ma prof m'a dit que c'est important de bien bosser ça car ça peut nous entraîner au bac. Mais j'ai un problème sur mon plan je ne trouve pas le grand plan I] Nous sommes la seule personne qui puisse choisir d'être celui qu'on est. Notre identité est constituée par notre jugement donc la partie qui répond oui à la question II] Le déterminisme nous sommes influencés par notre société et les avis extérieur au notre donc en gros la partie nonIci, il me manque le grand III. Avez-vous des suggestions à me faire? Merci

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