Assalemoualeykouna bonjour ! Vous avez dĂ©cidĂ© de vous faire un petit cadeau la maintenant pour vous seulement , pour vous personnellement , .. il [] Forums. SantĂ©. Famille. Bien-Être. Forums. DIRECT Coronavirus. COVID-19; Vaccin Pfizer; SymptĂŽmes Covid; Vaccins Covid; Pass sanitaire; SantĂ©. Coronavirus; Coronavirus; Coronavirus. ActualitĂ©s coronavirus en direct. Tout 30petites tĂąches Ă  faire maintenant (pour ĂȘtre heureux, plus tard, de les avoir faites!) Par Charlotte Hilton Andersen, Ă  jour: Oct. 24, 2018. Prenez cinq minutes aujourd’hui pour vous Ă©pargner des heures de Enfait, je vais travailler en Plan de travail avec les CE1 et les problĂšmes y seront inclus: fiche 1 obligatoire (niveau 1) et fiche 2 pour les plus rapides-les meilleurs (niveau2). Le plan durera 2 semaines. La premiĂšre pĂ©riode comptera donc 3 plans. Les fiches 1, 3, 5 seront faites par tous et les 2, 4, 6 que par certains. PriĂšrede MĂšre Teresa : « Ce que vous ferez au plus petit des miens » Une priĂšre de MĂšre Teresa sur l'amour des autres. Rubriques Lexique vraimentl'Evangile en acti on: «Ce que vous faites au plus petit d. '. entre les miens, c'e st Ă  moi que vous le faites». pcf.va. pcf.va. She tr uly is the Gospel in ac tion: "Whatsoever you do for the least of these little ones, so you do unto me". pcf.va. pcf.va. ce que vous faites au plus petit dentre les miens c. gandhi et la parole « ce que vous faites au plus petit de. citations motivantes quotidiennes motivation au travail. gestes cologiques au quotidien 14 gestes faites les. ne faites qu une bouche de vos projets avec du saucisson. mditation « ce que vous aurez fait au plus petit d. ment tre sr que je mdite correctement petit . L'histoire Ils Ă©taient deux, le Grand et le Petit. Les deux frĂšres vivaient chez le roi et se prĂ©lassaient dans un coin de sa cour. Le roi avait beaucoup de cabanes et beaucoup de champs de taro, beaucoup de nattes et de rĂ©cipients de noix de coco, beaucoup de chapelets de beaux coquillages, mais il n'Ă©tait pas Grand et le Petit travaillaient pour le roi, mais ne possĂ©daient rien, sans doute ne savaient-ils pas Ă©pargner. Chez le roi la nourriture circulait beaucoup, mais n'arrivait pas toujours jusqu'Ă  eux, si bien que le Grand, qui avait toujours faim, Ă©tait repas du roi Ă©taient prĂ©parĂ©s par de nombreux villages, le deuxiĂšme aprĂšs le premier, le troisiĂšme aprĂšs le deuxiĂšme, et ainsi, toujours et toujours, tour Ă  tour. Quand un village cuisinait pour le roi, le parfum de cuisine trottait sur tout le pays, puis trottait avec des chants, quand les gens portaient la nourriture au parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va Ă  leur rencontre, dit le Grand Ă  son frĂšre. Prends la nourriture de leurs mains, et que tes jambes la portent devant le roi. Le roi aura beaucoup de bonnes choses Ă  manger et beaucoup de parfum, et son estomac sera trĂšs rempli, alors il te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras, et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă  ton grand frĂšre. Car mon estomac rĂ©clame Ă  manger de nouveau. » Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Il attendait qu'arrive la nourriture, pour la partager entre le roi et le gens se demandĂšrent pourquoi le Petit Ă©tait assis sur les marches. Le roi ordonna que l'on appelle le Petit. Pourquoi es-tu assis sur mes marches ? demanda le roi.— Je suis le Petit, et j'ai faim ĂŽ mon roi, mais mon frĂšre est le Grand, et il a trĂšs grand-faim. J'attends que l'on vienne du village avec ton repas, je t'apporterai la nourriture et je recevrai de toi un morceau pour mon frĂšre. »Le roi dit aux serviteurs Donnez-lui une conque. »Ils lui donnĂšrent une conque, et le roi dit Porte-la Ă  ton frĂšre, et dĂ©broussaillez notre village. Vos mains travailleront et vos oreilles n'entendront pas crier votre estomac. Va et fais ce que j'ai dit. »Le Petit alla vers son frĂšre, et le village arriva chez le roi avec la nourriture. Le Petit dit au Grand ce qu'avait ordonnĂ© le roi. DĂ©broussailler tout le village avec une seule conque, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. » Les gens se couchĂšrent et dormirent, puis ils se levĂšrent et sortirent devant leurs cabanes. Ils s'Ă©tonnĂšrent de voir que toutes les broussailles avaient Ă©tĂ© coupĂ©es. Puis ils rirent et ils hochĂšrent la tĂȘte, et ils fĂ©licitĂšrent les frĂšres. Seulement, pas un seul mot ne sortit de la maison du deuxiĂšme village prĂ©para le repas du roi. Le parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va, et attends pour les rencontrer, dit le Grand au Petit. Porte la nourriture au roi et le roi te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă  ton grand frĂšre. Notre estomac crie trĂšs fort, car cette nuit nous avons beaucoup travaillĂ©, mais hier il n'a rien mangĂ©, pas plus qu'aujourd'hui. Rappelle au roi que nous avons fait ce qu'il nous a commandĂ©. »Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Le roi apprit que le Petit Ă©tait encore assis sur les marches. Le roi dit Ă  ses serviteurs Donnez au Petit une botte de bambou, afin que les frĂšres bĂątissent une maison pour le roi. » Le Petit retourna auprĂšs de son frĂšre, et le deuxiĂšme village arriva chez le roi avec son repas. BĂątir une maison avec une botte de tiges de bambou, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. »Les gens se levĂšrent quand ils virent que c'Ă©tait le jour. Ils admirĂšrent la nouvelle maison du roi. Puis ils rirent et hochĂšrent la tĂȘte, et prononcĂšrent des paroles qui rĂ©chauffĂšrent les frĂšres, mĂȘme si leur ventre pleurait, et si leur tĂȘte et leurs jambes voulaient de l'ancienne maison du roi pas un seul mot ne sortit. Quand le troisiĂšme village prĂ©para le repas du roi, le Petit Ă©tait dĂ©jĂ  assis sur les marches de pierre. Un serviteur du roi vint et lui donna une hache. Faites un nouveau canoĂ« pour le roi ! » Le Petit et le Grand construisirent un beau et grand canoĂ«. Le soleil se leva, les gens aussi, et ils virent le nouveau canoĂ« devant la maison du roi. Tous les gens du village admiraient tellement le canoĂ« qu'ils n'allĂšrent mĂȘme pas manger, ni pĂȘcher du poisson. De leur bouche coulaient de belles paroles, ils ne trouvaient aucun dĂ©faut au canoĂ«. Mais de la maison du roi ne sortit aucun mot. De la maison du roi ne vint pas le moindre morceau de nourriture qui eĂ»t pu se partager en deux plus petits morceaux. Les gens admiraient le canoĂ«, mais dĂ©jĂ  le Grand et le Petit ne les voyaient plus. Ils Ă©taient partis sur le rivage et construisaient un grand radeau. Le nom des frĂšres courait Ă  travers tout le pays, et les gens de tous les villages appelaient Ă  venir voir le canoĂ«. Les gens accouraient de partout et apportaient des noix de coco pour les frĂšres. Les frĂšres mirent les noix de coco sur le radeau. Ils prirent Ă©galement des rĂ©cipients avec de l'eau, car ils partaient en haute s'enfuirent sur la mer salĂ©e, pour qu'elle boive leurs larmes, les larmes salĂ©es d'amertume. Ils se plaignaient du roi, qui s'Ă©tait montrĂ© ingrat et Ă©goĂŻste. Il y avait beaucoup de noix de coco sur le radeau, mais cela faisait dĂ©jĂ  beaucoup de jours que la mer transportait le radeau. Le Grand avait dĂ©jĂ  mangĂ© toutes ses noix de coco, maintenant le Petit donnait ses noix Ă  son frĂšre. BientĂŽt il n'y eut plus qu'une seule noix sur le radeau. Le Grand gisait sur le radeau, et sa force s' dit au Petit RĂ©jouis ton cƓur, frĂšre. Notre radeau ne va voguer plus qu'un jour et une nuit, puis nous aborderons une nouvelle Ăźle. RĂ©jouis ton cƓur, car tu ne mourras pas dans un village Ă©tranger, mais tu mourras lĂ  oĂč nous sommes nĂ©s. »Il s'allongea sur le radeau, et ses yeux regardĂšrent le soleil. Puis il s'endormit pour toujours. Le Petit chanta un chant funĂšbre, et dans sa tĂȘte passĂšrent les chants et les odeurs qu'il avait partagĂ©s avec son frĂšre. Puis il cassa la derniĂšre noix, et le radeau, aprĂšs une journĂ©e et une nuit, aborda sur la rive. Le Petit mit pied Ă  terre, mais toutes ses forces avaient quittĂ© sa tĂȘte, son corps et ses jambes. Il avait envie de dormir, de dormir long du rivage un homme et une femme se promenaient. Ils passĂšrent sur les jambes du Petit. Ils crurent qu'ils marchaient sur un arbre. Ils se penchĂšrent et virent que ce n'Ă©taient pas deux branches, mais des jambes. Ils dirent D'oĂč viens-tu, homme-arbre ? »Le Petit se leva et alla avec eux dans leur cabane. Ils lui donnĂšrent une natte pour dormir et de la nourriture. Il mangea avec eux, il travailla avec eux. Quand la force revint dans ses bras et dans ses jambes, et quand sa tĂȘte fut plus claire, il dit Ă  l'homme et Ă  la femme Je veux parcourir votre Ăźle et voir de nouvelles choses et un nouveau pays. »L'homme et la femme le laissĂšrent partir, mais ils lui dirent Tu arriveras Ă  un endroit oĂč se dressent deux rochers. Il te faut passer entre eux. Mais les rochers ne restent pas immobiles, ils sautent l'un contre l'autre sans cesse. Seul celui qui a le pied rapide passe entre eux vivant ; celui qui a le pied lent, ils lui Ă©crasent la tĂȘte comme une noix. »Le Petit partit et dĂ©couvrit de nouveaux villages. Puis il arriva devant les rochers. C'Ă©taient de trĂšs grands rochers, et ils sautaient l'un vers l'autre en faisant grand bruit. Le Petit passa entre eux, repoussant l'un d'un coup d'Ă©paule et l'autre d'un coup de pied. Puis il les Ă©crasa en petits morceaux, et rĂ©pandit les cailloux sur le sol C'est bien fait pour vous, mauvais rochers qui avez Ă©crasĂ© la tĂȘte des gens ! »Il retourna chez l'homme et la femme, mangea avec eux, travailla aux champs avec eux. Une fois l'homme lui dit Homme-arbre, viens avec nous pĂȘcher le poisson, il n'y a plus de chair Ă  manger, et les femmes et les enfants ont faim. »Ils se dirigĂšrent vers le rivage et marchĂšrent sur la grĂšve, mais dans la mer il y avait beaucoup de requins. Les gens se demandaient comment ils allaient pouvoir pĂȘcher, car ils mouraient de faim. Ils criĂšrent Qui ira dans l'eau pour chasser les requins ?— Moi, dit le Petit. » Il sauta entre les requins, les requins sautĂšrent sur Petit saisit une noix de coco, qui flottait sur l'eau, et en donna des coups Ă  tous les requins, les tuant. De grandes vagues et des tourbillons noyĂšrent et engloutirent les requins, mais elles emportĂšrent loin dans la mer le Petit. Les gens, Ă©tonnĂ©s, l'appelĂšrent de la berge. Ils renoncĂšrent Ă  le secourir, car les vagues Ă©taient trop fortes pour leurs Petit nageait, nageait de toutes ses forces quand il entendit une voix qui l'appelait du fond de la il vit le Grand qui lui dit Je t'amĂšne des poissons. Accroche-toi Ă  leur queue, ils te mĂšneront sur la grĂšve. »Ils ramenĂšrent le Petit jusqu'au rivage, et le Petit aperçut l'homme et la femme, qui se rĂ©jouirent de son retour. Ils lui dirent Homme-arbre, tu veux rentrer chez toi ?— Oui, dit le Petit. »Ils dĂ©posĂšrent une trĂšs grande feuille sur le rivage, et ils dirent Mets-toi sur cette feuille. »Le Petit se coucha dessus, et ils le recouvrirent avec une autre trĂšs grande feuille. Puis ils dĂ©coupĂšrent un morceau du rivage avec la feuille, et ils le placĂšrent sur l'eau, comme un radeau. La mer emporta le radeau avec le Petit jusqu'Ă  l'Ăźle oĂč Ă©taient nĂ©s les deux frĂšres. Le roi apprit que le Petit Ă©tait revenu. Il envoya sa femme se dissimuler entre les cannes Ă  sucre. Lui-mĂȘme, il grimpa dans le trou par lequel sortait la fumĂ©e de la cheminĂ©e de sa maison. Le Petit arriva, et il dĂ©busqua le roi. Roi, pourquoi es-tu assis dans le trou que la fumĂ©e a sali ?— Je veux que mon corps reçoive un peu de chaleur », dit le roi Ă  voix basse, et tout tremblant. Moi aussi, je veux recevoir un peu de chaleur dans mon corps. Mais avec ton corps, tu as bouchĂ© le trou pour la fumĂ©e, et je ne peux pas me rĂ©chauffer. Je me souviens combien j'avais faim et plus encore mon frĂšre, quand tu Ă©tais roi et que tu nous prenais notre part. Viens avec moi ! »Ils sortirent de la maison, et le Petit poussa le roi devant lui, jusqu'Ă  l'endroit oĂč le roi avait des cannes Ă  sucre. Pourquoi es-tu assise dans les cannes Ă  sucre ? se moqua le Petit en tirant la reine par sa robe. Je voulais en prendre et en manger. Mais tu es ici, et je ne peux pas. Je me souviens comment c'Ă©tait quand nous sommes partis avec mon Grand frĂšre sur un radeau et que nous n'avions pas la moindre noix de coco. Et comment mon frĂšre est mort. Viens avec moi ! »Le Petit poussa devant lui la reine et le roi, et le sourire lui tomba des lĂšvres. Dans sa tĂȘte passa une ombre chaude et Petit les força Ă  embarquer sur le radeau, qu'il poussa sur la mer libre. Il leur cria, tandis qu'ils s'Ă©loignaient Vos oreilles Ă©taient bouchĂ©es pour ne pas entendre nos ventres qui pleuraient de faim. Vos yeux Ă©taient aveugles et ne voyaient pas que de nos yeux coulaient des larmes salĂ©es. Allez sur la mer et goĂ»tez combien elle brĂ»le, l'eau salĂ©e ! Écoutez comment il chante, le ventre creux ! »Les grandes vagues poussĂšrent le radeau, qui devint de plus en plus petit. Le Petit le regarda s'Ă©loigner Quand vous rencontrerez le Grand, mon frĂšre, qui est mort par lĂ , dites-lui que je suis revenu sur l'Ăźle oĂč nous sommes nĂ©s, lui et moi. Dites-lui que je suis revenu et que je vous ai envoyĂ©s vers lui, pour qu'il vous dise ceci "Ne fais rien de ce qui amĂšne les larmes dans les yeux des gens et la colĂšre dans leur cƓur !" »AprĂšs, il retourna au village. , Contes d'OcĂ©anie, ill. Peggy Nille, rue des enfants DĂ©couvrir Le cocotier et la noix de cocoLe cocotier fait partie de la famille des palmiers. Il pousse surtout dans les rĂ©gions tropicales, prĂšs de la mer, et peut mesurer jusqu'Ă  25 mĂštres ! Ses feuilles, les palmes, sont trĂšs noix de coco est le fruit du cocotier. De couleur brune, sa coque est trĂšs dure et recouverte de longues fibres
 on pourrait croire qu'elle a des poils !Blanc, l'intĂ©rieur du fruit s'appelle amande ». C'est cette partie qui est comestible. Le fruit est presque entiĂšrement rempli d'un liquide sucrĂ© et rafraichissant l'eau de coco. Il ne faut pas la confondre avec le lait de coco qu'on obtient en pressant la chair du fruit aprĂšs l'avoir savais-tu ?Un cocotier peut porter entre 50 et 500 noix de coco !La noix de coco met un an Ă  mĂ»rir complĂ©tement ! Le jeu Écouter l'histoire Ils Ă©taient deux, le Grand et le Petit. Les deux frĂšres vivaient chez le roi et se prĂ©lassaient dans un coin de sa cour. Le roi avait beaucoup de cabanes et beaucoup de champs de taro, beaucoup de nattes et de rĂ©cipients de noix de coco, beaucoup de chapelets de beaux coquillages, mais il n'Ă©tait pas Grand et le Petit travaillaient pour le roi, mais ne possĂ©daient rien, sans doute ne savaient-ils pas Ă©pargner. Chez le roi la nourriture circulait beaucoup, mais n'arrivait pas toujours jusqu'Ă  eux, si bien que le Grand, qui avait toujours faim, Ă©tait repas du roi Ă©taient prĂ©parĂ©s par de nombreux villages, le deuxiĂšme aprĂšs le premier, le troisiĂšme aprĂšs le deuxiĂšme, et ainsi, toujours et toujours, tour Ă  tour. Quand un village cuisinait pour le roi, le parfum de cuisine trottait sur tout le pays, puis trottait avec des chants, quand les gens portaient la nourriture au parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va Ă  leur rencontre, dit le Grand Ă  son frĂšre. Prends la nourriture de leurs mains, et que tes jambes la portent devant le roi. Le roi aura beaucoup de bonnes choses Ă  manger et beaucoup de parfum, et son estomac sera trĂšs rempli, alors il te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras, et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă  ton grand frĂšre. Car mon estomac rĂ©clame Ă  manger de nouveau. » Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Il attendait qu'arrive la nourriture, pour la partager entre le roi et le gens se demandĂšrent pourquoi le Petit Ă©tait assis sur les marches. Le roi ordonna que l'on appelle le Petit. Pourquoi es-tu assis sur mes marches ? demanda le roi.— Je suis le Petit, et j'ai faim ĂŽ mon roi, mais mon frĂšre est le Grand, et il a trĂšs grand-faim. J'attends que l'on vienne du village avec ton repas, je t'apporterai la nourriture et je recevrai de toi un morceau pour mon frĂšre. »Le roi dit aux serviteurs Donnez-lui une conque. »Ils lui donnĂšrent une conque, et le roi dit Porte-la Ă  ton frĂšre, et dĂ©broussaillez notre village. Vos mains travailleront et vos oreilles n'entendront pas crier votre estomac. Va et fais ce que j'ai dit. »Le Petit alla vers son frĂšre, et le village arriva chez le roi avec la nourriture. Le Petit dit au Grand ce qu'avait ordonnĂ© le roi. DĂ©broussailler tout le village avec une seule conque, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. » Les gens se couchĂšrent et dormirent, puis ils se levĂšrent et sortirent devant leurs cabanes. Ils s'Ă©tonnĂšrent de voir que toutes les broussailles avaient Ă©tĂ© coupĂ©es. Puis ils rirent et ils hochĂšrent la tĂȘte, et ils fĂ©licitĂšrent les frĂšres. Seulement, pas un seul mot ne sortit de la maison du deuxiĂšme village prĂ©para le repas du roi. Le parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va, et attends pour les rencontrer, dit le Grand au Petit. Porte la nourriture au roi et le roi te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă  ton grand frĂšre. Notre estomac crie trĂšs fort, car cette nuit nous avons beaucoup travaillĂ©, mais hier il n'a rien mangĂ©, pas plus qu'aujourd'hui. Rappelle au roi que nous avons fait ce qu'il nous a commandĂ©. »Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Le roi apprit que le Petit Ă©tait encore assis sur les marches. Le roi dit Ă  ses serviteurs Donnez au Petit une botte de bambou, afin que les frĂšres bĂątissent une maison pour le roi. » Le Petit retourna auprĂšs de son frĂšre, et le deuxiĂšme village arriva chez le roi avec son repas. BĂątir une maison avec une botte de tiges de bambou, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. »Les gens se levĂšrent quand ils virent que c'Ă©tait le jour. Ils admirĂšrent la nouvelle maison du roi. Puis ils rirent et hochĂšrent la tĂȘte, et prononcĂšrent des paroles qui rĂ©chauffĂšrent les frĂšres, mĂȘme si leur ventre pleurait, et si leur tĂȘte et leurs jambes voulaient de l'ancienne maison du roi pas un seul mot ne sortit. Quand le troisiĂšme village prĂ©para le repas du roi, le Petit Ă©tait dĂ©jĂ  assis sur les marches de pierre. Un serviteur du roi vint et lui donna une hache. Faites un nouveau canoĂ« pour le roi ! » Le Petit et le Grand construisirent un beau et grand canoĂ«. Le soleil se leva, les gens aussi, et ils virent le nouveau canoĂ« devant la maison du roi. Tous les gens du village admiraient tellement le canoĂ« qu'ils n'allĂšrent mĂȘme pas manger, ni pĂȘcher du poisson. De leur bouche coulaient de belles paroles, ils ne trouvaient aucun dĂ©faut au canoĂ«. Mais de la maison du roi ne sortit aucun mot. De la maison du roi ne vint pas le moindre morceau de nourriture qui eĂ»t pu se partager en deux plus petits morceaux. Les gens admiraient le canoĂ«, mais dĂ©jĂ  le Grand et le Petit ne les voyaient plus. Ils Ă©taient partis sur le rivage et construisaient un grand radeau. Le nom des frĂšres courait Ă  travers tout le pays, et les gens de tous les villages appelaient Ă  venir voir le canoĂ«. Les gens accouraient de partout et apportaient des noix de coco pour les frĂšres. Les frĂšres mirent les noix de coco sur le radeau. Ils prirent Ă©galement des rĂ©cipients avec de l'eau, car ils partaient en haute s'enfuirent sur la mer salĂ©e, pour qu'elle boive leurs larmes, les larmes salĂ©es d'amertume. Ils se plaignaient du roi, qui s'Ă©tait montrĂ© ingrat et Ă©goĂŻste. Il y avait beaucoup de noix de coco sur le radeau, mais cela faisait dĂ©jĂ  beaucoup de jours que la mer transportait le radeau. Le Grand avait dĂ©jĂ  mangĂ© toutes ses noix de coco, maintenant le Petit donnait ses noix Ă  son frĂšre. BientĂŽt il n'y eut plus qu'une seule noix sur le radeau. Le Grand gisait sur le radeau, et sa force s' dit au Petit RĂ©jouis ton cƓur, frĂšre. Notre radeau ne va voguer plus qu'un jour et une nuit, puis nous aborderons une nouvelle Ăźle. RĂ©jouis ton cƓur, car tu ne mourras pas dans un village Ă©tranger, mais tu mourras lĂ  oĂč nous sommes nĂ©s. »Il s'allongea sur le radeau, et ses yeux regardĂšrent le soleil. Puis il s'endormit pour toujours. Le Petit chanta un chant funĂšbre, et dans sa tĂȘte passĂšrent les chants et les odeurs qu'il avait partagĂ©s avec son frĂšre. Puis il cassa la derniĂšre noix, et le radeau, aprĂšs une journĂ©e et une nuit, aborda sur la rive. Le Petit mit pied Ă  terre, mais toutes ses forces avaient quittĂ© sa tĂȘte, son corps et ses jambes. Il avait envie de dormir, de dormir long du rivage un homme et une femme se promenaient. Ils passĂšrent sur les jambes du Petit. Ils crurent qu'ils marchaient sur un arbre. Ils se penchĂšrent et virent que ce n'Ă©taient pas deux branches, mais des jambes. Ils dirent D'oĂč viens-tu, homme-arbre ? »Le Petit se leva et alla avec eux dans leur cabane. Ils lui donnĂšrent une natte pour dormir et de la nourriture. Il mangea avec eux, il travailla avec eux. Quand la force revint dans ses bras et dans ses jambes, et quand sa tĂȘte fut plus claire, il dit Ă  l'homme et Ă  la femme Je veux parcourir votre Ăźle et voir de nouvelles choses et un nouveau pays. »L'homme et la femme le laissĂšrent partir, mais ils lui dirent Tu arriveras Ă  un endroit oĂč se dressent deux rochers. Il te faut passer entre eux. Mais les rochers ne restent pas immobiles, ils sautent l'un contre l'autre sans cesse. Seul celui qui a le pied rapide passe entre eux vivant ; celui qui a le pied lent, ils lui Ă©crasent la tĂȘte comme une noix. »Le Petit partit et dĂ©couvrit de nouveaux villages. Puis il arriva devant les rochers. C'Ă©taient de trĂšs grands rochers, et ils sautaient l'un vers l'autre en faisant grand bruit. Le Petit passa entre eux, repoussant l'un d'un coup d'Ă©paule et l'autre d'un coup de pied. Puis il les Ă©crasa en petits morceaux, et rĂ©pandit les cailloux sur le sol C'est bien fait pour vous, mauvais rochers qui avez Ă©crasĂ© la tĂȘte des gens ! »Il retourna chez l'homme et la femme, mangea avec eux, travailla aux champs avec eux. Une fois l'homme lui dit Homme-arbre, viens avec nous pĂȘcher le poisson, il n'y a plus de chair Ă  manger, et les femmes et les enfants ont faim. »Ils se dirigĂšrent vers le rivage et marchĂšrent sur la grĂšve, mais dans la mer il y avait beaucoup de requins. Les gens se demandaient comment ils allaient pouvoir pĂȘcher, car ils mouraient de faim. Ils criĂšrent Qui ira dans l'eau pour chasser les requins ?— Moi, dit le Petit. » Il sauta entre les requins, les requins sautĂšrent sur Petit saisit une noix de coco, qui flottait sur l'eau, et en donna des coups Ă  tous les requins, les tuant. De grandes vagues et des tourbillons noyĂšrent et engloutirent les requins, mais elles emportĂšrent loin dans la mer le Petit. Les gens, Ă©tonnĂ©s, l'appelĂšrent de la berge. Ils renoncĂšrent Ă  le secourir, car les vagues Ă©taient trop fortes pour leurs Petit nageait, nageait de toutes ses forces quand il entendit une voix qui l'appelait du fond de la il vit le Grand qui lui dit Je t'amĂšne des poissons. Accroche-toi Ă  leur queue, ils te mĂšneront sur la grĂšve. »Ils ramenĂšrent le Petit jusqu'au rivage, et le Petit aperçut l'homme et la femme, qui se rĂ©jouirent de son retour. Ils lui dirent Homme-arbre, tu veux rentrer chez toi ?— Oui, dit le Petit. »Ils dĂ©posĂšrent une trĂšs grande feuille sur le rivage, et ils dirent Mets-toi sur cette feuille. »Le Petit se coucha dessus, et ils le recouvrirent avec une autre trĂšs grande feuille. Puis ils dĂ©coupĂšrent un morceau du rivage avec la feuille, et ils le placĂšrent sur l'eau, comme un radeau. La mer emporta le radeau avec le Petit jusqu'Ă  l'Ăźle oĂč Ă©taient nĂ©s les deux frĂšres. Le roi apprit que le Petit Ă©tait revenu. Il envoya sa femme se dissimuler entre les cannes Ă  sucre. Lui-mĂȘme, il grimpa dans le trou par lequel sortait la fumĂ©e de la cheminĂ©e de sa maison. Le Petit arriva, et il dĂ©busqua le roi. Roi, pourquoi es-tu assis dans le trou que la fumĂ©e a sali ?— Je veux que mon corps reçoive un peu de chaleur », dit le roi Ă  voix basse, et tout tremblant. Moi aussi, je veux recevoir un peu de chaleur dans mon corps. Mais avec ton corps, tu as bouchĂ© le trou pour la fumĂ©e, et je ne peux pas me rĂ©chauffer. Je me souviens combien j'avais faim et plus encore mon frĂšre, quand tu Ă©tais roi et que tu nous prenais notre part. Viens avec moi ! »Ils sortirent de la maison, et le Petit poussa le roi devant lui, jusqu'Ă  l'endroit oĂč le roi avait des cannes Ă  sucre. Pourquoi es-tu assise dans les cannes Ă  sucre ? se moqua le Petit en tirant la reine par sa robe. Je voulais en prendre et en manger. Mais tu es ici, et je ne peux pas. Je me souviens comment c'Ă©tait quand nous sommes partis avec mon Grand frĂšre sur un radeau et que nous n'avions pas la moindre noix de coco. Et comment mon frĂšre est mort. Viens avec moi ! »Le Petit poussa devant lui la reine et le roi, et le sourire lui tomba des lĂšvres. Dans sa tĂȘte passa une ombre chaude et Petit les força Ă  embarquer sur le radeau, qu'il poussa sur la mer libre. Il leur cria, tandis qu'ils s'Ă©loignaient Vos oreilles Ă©taient bouchĂ©es pour ne pas entendre nos ventres qui pleuraient de faim. Vos yeux Ă©taient aveugles et ne voyaient pas que de nos yeux coulaient des larmes salĂ©es. Allez sur la mer et goĂ»tez combien elle brĂ»le, l'eau salĂ©e ! Écoutez comment il chante, le ventre creux ! »Les grandes vagues poussĂšrent le radeau, qui devint de plus en plus petit. Le Petit le regarda s'Ă©loigner Quand vous rencontrerez le Grand, mon frĂšre, qui est mort par lĂ , dites-lui que je suis revenu sur l'Ăźle oĂč nous sommes nĂ©s, lui et moi. Dites-lui que je suis revenu et que je vous ai envoyĂ©s vers lui, pour qu'il vous dise ceci "Ne fais rien de ce qui amĂšne les larmes dans les yeux des gens et la colĂšre dans leur cƓur !" »AprĂšs, il retourna au village. Cela va vous aider Ă  tenir le cap dans votre quotidien au travail. Il faut bien l’avouer le quotidien pour monter sa boite et la dĂ©velopper n’est pas tous les jours ROSE. Alors pour vous aider Ă  affronter vents et marĂ©es, j’ai dĂ©cidĂ© de vous proposer un recueil de citation motivation et citation business. Les meilleures citations business pour les entrepreneurs “Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde, y parviennent” Steve Jobs. “Aujourd’hui les gens savent le prix de tout mais ne connaissent la valeur de rien”. Oscar Wilde “Les entrepreneurs Ă©chouent en moyenne 3,8 fois avant de rĂ©ussir. Ce qui diffĂ©rencie ceux qui rĂ©ussissent des autres, c’est leur persĂ©vĂ©rance.” Lisa M. Amos “Il y a quelque chose de pire dans la vie que de n’avoir pas rĂ©ussi, c’est de n’avoir pas essayĂ©.“ Roosevelt “L’échec nous procure l’opportunitĂ© de recommencer plus intelligemment“. Henry Ford “Un pessimiste voit la difficultĂ© dans chaque opportunitĂ©, un optimiste voit l’opportunitĂ© dans chaque difficultĂ©â€œ. Churchill “Je ne connais pas la clĂ© du succĂšs. Mais celle de l’échec, c’est d’essayer de plaire Ă  tout le monde.” Bill Cosby Parfois, on regarde si longtemps une porte se refermer, qu’on arrive trop tard pour celle qui s’était ouverte Ă  cĂŽtĂ©. “L’échec, c’est seulement une opportunitĂ© de dĂ©marrer Ă  nouveau demain, de façon plus intelligente.” Henry Ford “N’allez pas oĂč va le chemin. Allez lĂ  oĂč il n’y en a pas encore, et ouvrez la route.” Ralph Waldo Emerson “Au lieu de vous demander oĂč vous pourriez passer vos prochaines vacances, peut-ĂȘtre que vous devriez dĂ©marrer une vie dans laquelle vous n’aurez pas besoin de vous Ă©chapper.” Seth Godin Si vous faites toujours ce que vous avez toujours fait, vous n’irez pas plus loin que jusque-lĂ  oĂč vous ĂȘtes toujours allĂ©. “Les grandes choses ne sont pas faites par la force, mais par la persĂ©vĂ©rance.” Samuel Johnson “Beaucoup de ceux qui ont Ă©chouĂ© n’ont pas rĂ©alisĂ© qu’ils Ă©taient aussi prĂšs du succĂšs quand ils ont abandonnĂ©.” Thomas Edison “Si on me donnait six heures pour abattre un arbre, je passerais la premiĂšre Ă  affĂ»ter la hache.” Abraham Lincoln “Il n’est jamais trop tard pour devenir ce que vous auriez pu ĂȘtre.” George Eliot “La plus grande gloire, ce n’est pas de ne jamais tomber. C’est de se relever Ă  chaque fois qu’on tombe.” Confucius “Vivre c’est se mettre en danger. De la mĂȘme façon qu’apprendre Ă  marcher c’est d’abord accepter l’idĂ©e de tomber” Bottero “L’ignorant affirme, le savant doute, le sage rĂ©flĂ©chit” Aristote “Les grands esprits discutent d’idĂ©es, les esprits moyens discutent d’évĂ©nements, les petits esprits discutent des gens.” Eleanor Roosevelt “A chaque fois que vous vous trouvez du cĂŽtĂ© de la majoritĂ©, il est temps de faire une pause et de rĂ©flĂ©chir.” Mark Twain “Celui qui suit la foule n’ira pas plus loin que lĂ  oĂč va la foule. Celui qui marche seul peut se retrouver dans des endroits oĂč personne n’a jamais Ă©tĂ©.” Albert Einstein “Si vous ne suivez pas votre rĂȘve, quelqu’un d’autre va vous embaucher pour que vous l’aidiez Ă  construire le sien.” Dhirubhai Ambani La rĂ©ussite d’une personne dans la vie se mesure en gĂ©nĂ©ral au nombre de conversations dĂ©licates ou dĂ©sagrĂ©ables qu’elle est prĂȘte Ă  voir .“L’homme raisonnable s’adapte au monde ; L’homme dĂ©raisonnable s’obstine Ă  essayer d’adapter le monde Ă  lui-mĂȘme. Tout progrĂšs dĂ©pend donc de l’homme dĂ©raisonnable.” George Bernard Shaw Les risques sont beaucoup moins effrayants une fois que vous les avez pris. “Ceux qui survivent, ce ne sont pas les espĂšces les plus fortes, ni les plus intelligentes. Ce sont celles qui sont capables de changer.” Charles Darwin. Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » SĂ©nĂšque Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Mark Twain Il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait oĂč il va. » SĂ©nĂšque Si vous ĂȘtes capable de le rĂȘver, vous ĂȘtes capable de le faire. L’action sĂ©pare un rĂȘve d’un projet. » Walt Disney Faites que le rĂȘve dĂ©vore votre vie
afin que la vie ne dĂ©vore pas votre rĂȘve. » Antoine de Saint-ExupĂ©ry Vous n’avez pas besoin d’ĂȘtre gĂ©nial pour commencer, mais vous devez commencer pour ĂȘtre gĂ©nial. » Zig Ziglar Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine, c’est Mortel »Paulo Coehlo Si vous ne suivez pas votre rĂȘve, quelqu’un va vous embaucher pour que vous l’aidiez Ă  rĂ©aliser le sien. Les meilleurs proverbes pour se motiver au travail “Quand je suis allĂ© Ă  l’école, ils m’ont demandĂ© ce que je voulais ĂȘtre quand je serais grand. J’ai rĂ©pondu -heureux-. Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question, j’ai rĂ©pondu qu’ils n’avaient pas compris la vie”. John Lennon “Le bonheur n’est pas une destination. C’est une mĂ©thode de vie.” Burton Hills “Beaucoup de gens reçoivent des conseils. Seuls les sages en profitent ?” Publilius Syrus Vous ne changerez jamais votre vie avant d’avoir changĂ© quelque chose que vous faites chaque jour. Le secret de votre succĂšs est dans votre programme quotidien. “RĂȘves comme si tu allais vivre pour toujours. Vis comme si tu allais mourir demain.” James Dean “Nous sommes ce que nous faisons rĂ©guliĂšrement. L’excellence n’est pas un acte, c’est une habitude.” Aristote “La vie, c’est Ă  10% ce qui nous arrive, et Ă  90% la façon dont on y rĂ©agit.” Chuck Swindoll “Tout est difficile avant de devenir facile.” Thomas Fuller “Rien n’est difficile si vous le divisez en petites tĂąches.” Henry Ford “Ne jugez pas chaque journĂ©e par votre rĂ©colte, mais par les graines que vous avez plantĂ©es.” Robert Louis Stevenson La vie n’est pas une course. Prenez le temps de danser. Ecoutez la musique avant que la chanson ne s’achĂšve. Seuls ceux qui ne font rien ne commettent pas d’erreurs. Limiter les tĂąches Ă  l’important pour rĂ©duire le temps de travail. RĂ©duire le temps de travail pour limiter les tĂąches. Apprendre une langue Ă©trangĂšre, c’est acquĂ©rir un regard supplĂ©mentaire sur le monde. Vous inventez-vous des choses Ă  faire pour Ă©viter l’important ? Ce n’est pas parce qu’une tĂąche exige beaucoup de temps qu’elle est importante. Ne jamais arriver au bureau ou devant son ordinateur sans une liste prĂ©cise de prioritĂ©s. Être dĂ©bordĂ© est souvent tout aussi stĂ©rile que de ne rien faire, et c’est beaucoup plus dĂ©sagrĂ©able ! “Le manque de temps n’est rien d’autre qu’un manque de prioritĂ©s !” Thimoty Ferris “Je dĂ©truis mes ennemis quand j’en fais des amis.” Abraham Lincoln En faisant scintiller notre lumiĂšre, nous offrons aux autres la possibilitĂ© d’en faire autant. » Nelson Mandela – J’ai le sentiment que toute ma vie dĂ©pend de cet instant prĂ©cis ; si je le rate
 »– Moi je pense le contraire si on rate ce moment, on essaie celui d’aprĂšs, et si on Ă©choue on recommence l’instant suivant, on a toute la vie pour rĂ©ussir. » Dialogue avec Boris Vian qui est l’auteur de la seconde phrase Nous sommes les auteurs de notre vie
 “Chaque petit pas t’amĂšne vers ton objectif. Garde confiance, garde espoir, protĂšge tes rĂȘves et continue d’avancer
” Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faiteEt recevoir ces deux menteurs d’un mĂȘme front, Si tu peux conserver ton courage et la tĂȘteQuand tout les autres les perdront,Alors les rois les dieux de la chance et la victoireSeront Ă  tout jamais tes esclaves soumis,Et, ce qui vaut bien mieux que les rois et la gloire,Tu seras un homme mon fils ! Rudyard Kipling Ta vie ne te plait pas
 alors change LA
 Il meurt lentement Celui qui devient esclave de l’habituderefaisant tous les jours les mĂȘmes chemins,celui qui ne change jamais de repĂšre,Ne se risque jamais Ă  changer la couleur de ses vĂȘtementsOu qui ne parle jamais Ă  un inconnu Pablo Neruda “Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas Ă  travailler un seul jour de votre vie.“ Confucius “Ne travaillez pas plus dur travaillez plus intelligemment.” “La fortune sourit aux audacieux !” Virgile Quelque soit oĂč on en est, ce qu’on vit, TOUT est expĂ©rience engendrĂ©e par nos paroles, nos pensĂ©es, nos actions
 Ce recueil est au tout dĂ©but de l’aventure ! A vous pour s’enrichir ! Alors postez-moi en commentaire votre prĂ©fĂ©rĂ© et puis d’autres que vous aimez bien ! Je les mettrai en image pour que chacun puisse les imprimer et les afficher dans son bureau ou ailleurs Ă©videmment.A vous de jouer ! Au fait vous avez vu aussi que ce site regorge de guides gratuits pour bien monter sa boite ? Profitez-en ! Ces articles pourraient aussi vous intĂ©resser RĂ©ussir votre congĂ© pour crĂ©ation d’entreprise de A Ă  Z 3 bonnes raisons de ne pas abandonner son projet entrepreneurial Reconversion professionnelle 20 erreurs Ă  Ă©viter de toute urgence ! Prise de dĂ©cision 7 questions pour vĂ©rifier que vous prenez la bonne dĂ©cision Sources Challenge des membres du club privĂ© de Macreationdentreprise Tableaux inspirationnels de Pinterest Veille d’Antonella VILAND, coach pour les entrepreneurs depuis 2005 La vĂ©ritĂ© sur ce qui nous motive ; Daniel PINK Main dans les cheveux, lĂšvres mordillĂ©es, grattement de narines sans s’en rendre compte, nos gestes trahissent nos Ă©tats Ă©motionnels. Si ce langage corporel n’est pas une science Ă  appliquer Ă  chaque cas, il nous livre de prĂ©cieux indices qui peuvent se rĂ©vĂ©ler trĂšs utiles
 La tĂȘte L’inclinaison vous voulez mieux connaĂźtre l’état Ă©motionnel de votre interlocuteur au cours d’une discussion ? S’il penche la tĂȘte Ă  droite, c’est qu’il fait appel Ă  son pĂŽle rationnel. De l’autre cĂŽtĂ©, c’est qu’il est plus dans l’émotionnel. Le juste niveau on dĂ©tend son cou ! Une tĂȘte haute et rigide envoie un message d’assurance extrĂȘme -voire de mĂ©pris- tandis qu’une tĂȘte basse traduit la dĂ©faite ou la culpabilitĂ©. La coiffure les cheveux coincĂ©s derriĂšres les oreilles montrent que vous voulez avoir la vue dĂ©gagĂ©e pour saisir chaque opportunitĂ©. Une queue de cheval haute met votre buste en valeur et envoie donc un message d’assurance et/ou de sĂ©duction. Le visage Les sourcils relevĂ©s vers le haut, ils montrent votre Ă©tonnement. FroncĂ©s, ils indiquent la mĂ©fiance – on les baisse comme pour protĂ©ger nos globes. Les pupilles l’homme que vous convoitez a les pupilles dilatĂ©es lorsqu’il vous parle ? Alors foncez s’il semble perdu dans vos yeux, c’est que vous lui plaisez. En revanche, quelqu’un qui a les pupilles trĂšs rĂ©tractĂ©es ressent des Ă©motions nĂ©gatives. Ça peut ĂȘtre de la peur, comme de la colĂšre, du mĂ©pris, un manque d’intĂ©rĂȘt,
 Le nez si votre interlocuteur se gratte l’aile droite en vous Ă©coutant, c’est qu’il ne comprend pas oĂč vous voulez en venir. S’il se pince le nez, c’est qu’il estime que ce que vous dĂźtes sent mauvais ». Il dĂ©sapprouve donc vos propos. Enfin, si il appuie un doigt sur le bout de son nez, c’est qu’il essaie d’écraser son flair et de ne pas se fier Ă  son instinct. La bouche on arrĂȘte de se mordiller les lĂšvres en parlant Ă  son patron ! Cette habitude montre que vous ĂȘtes mal Ă  l’aise. Si vous vous mordillez celle du dessus, vous ĂȘtes surmenĂ©e. Si c’est celle du dessous, vous avez peur que la situation ne vous Ă©chappe. Pas de bouche en cul-de-poule non plus mĂ©pris ou de de tapotements compulsifs des lĂšvres du bout des doigts individualisme. Le faux sourire trĂšs facile Ă  reconnaĂźtre, il s’efface trĂšs rapidement tandis qu’un sourire franc met plus de temps Ă  redescendre. Bon Ă  savoir quand on veut faire semblant de se rĂ©jouir pour une collĂšgue qui nous Ă©nerve
 mouhaha Le buste Le buste position assise penchĂ© vers l’avant, lors d’un entretien d’embauche par exemple, il enverra Ă  votre interlocuteur un signe d’intĂ©rĂȘt et de courage. On Ă©vite ainsi de se pencher vers l’arriĂšre dĂ©sintĂ©rĂȘt et/ou nonchalance, de se replier sur soi fatigue ou grande timiditĂ©. Le buste position debout Ă  la machine Ă  cafĂ©, Ă©vitez de bomber le torse ça vous donnera l’air arrogante ou de vous replier sur vous. Tenez-vous droite. En plus, c’est bon pour le dos ! Les bras Les bras croisĂ©s signe de fermeture, on adopte souvent cette position lorsqu’on est mal Ă  l’aise ou contrariĂ©es. Si on veut montrer qu’on est des reines, on les dĂ©croise, on laisse nos bras droits ou on pose nos mains sur les hanches. Le sens du croisement a son importance bras gauche au-dessus, vous montrez que vous ĂȘtes quelqu’un de rationnel, observatrice et rĂ©flĂ©chie, tandis que le bras droit au-dessus souligne votre impulsivitĂ© et votre esprit fonceur ». A adapter selon les situations
 Les mains Les mains de l’orateur voici quelques attitudes dĂ©cryptĂ©es qui vont vous faire regarder les discours des hommes politiques d’un autre Ɠil. Les mains orientĂ©es vers soi signe d’égocentrisme ou de manque d’honnĂȘtetĂ© puisque la personne a besoin d’en rajouter des caisses. Les mains orientĂ©e vers l’extĂ©rieur l’orateur cherche Ă  sĂ©duire l’assistance en lui donnant l’impression d’ĂȘtre trĂšs concernĂ©e. Les index et majeurs levĂ©s et joints devant les lĂšvres on affĂ»te ses arguments. Les index seulement joints devant les lĂšvres on est Ă  court d’arguments
ou sĂ©duit. Les mains en appui sur une table ou sur les genoux la personne est mal Ă  l’aise. Les poings fermĂ©s en appui sur une table signe d’hostilitĂ©. Les mains Ă  plat sur la table signe d’écoute et de comprĂ©hension. Les mains croisĂ©es le pouce droit est au-dessus ? Vous ĂȘtes rationnelle. Sinon, vous marchez plus aux Ă©motions et Ă  l’instinct. Serrer la main avant un entretien, vous devez la serrer juste ce qu’il faut. Trop serrĂ©e, elle montre que vous ĂȘtes prĂȘte Ă  Ă©craser les autres. Trop molle, que vous manquez d’énergie et d’ambition. Il y a aussi la main fondante, qui se ramollit une fois que l’autre la serre c’est la main du sĂ©ducteur -trice. Les mains fuyardes lors d’un entretien, on Ă©vite de croiser les mains entre les jambes signe de manque de confiance en soi et de jouer avec un objet nervositĂ©. Les doigts interrogatifs votre patron met son index sur sa tempe en vous parlant ou le pose sur le bout de son nez en vous Ă©coutant? Alors mettez les bouchĂ©es doubles car c’est qu’il s’ennuie ou qu’il est dubitatif. La main sous le menton coudes posĂ©s sur la table, votre interlocuteur vous regarde, le menton posĂ© entre ses deux mains ouvertes sur ses joues ? Cette personne vous veut du bien. En revanche, si son menton repose sur sa seule main gauche, elle ne pense qu’à elle. Les mains sur les hanches une personne qui adopte cette position est ouverte » Ă  son interlocuteur. Si elle bombe le torse, elle est en compĂ©tition avec lui et veut afficher sa supĂ©rioritĂ©. Sinon, elle se sent juste Ă  l’aise avec la personne -et tente peut-ĂȘtre de la sĂ©duire
 Le tĂ©lĂ©phone vous le tenez de la main gauche ? Vous ĂȘtes plutĂŽt introvertie. Sinon, vous ĂȘtes plus extravertie et sociable. La main dans les cheveux Le doigt qui joue avec la mĂšche traduit soit l’ennui, soit le doute, soit la sĂ©duction. Se recoiffer sans arrĂȘt tendance Ă  l’impatience et Ă  la susceptibilitĂ©. Se lisser constamment les cheveux du bout des doigts votre interlocuteur a des choses Ă  se reprocher. La place de la main pendant la bise une main posĂ©e sur l’épaule gauche pendant la bise tĂ©moigne de l’affection envers la personne. Sur l’épaule droite, elle montre votre ambition et votre caractĂšre intĂ©ressĂ©. Les jambes Les jambes croisĂ©es position assise cette position envoie un signal de malaise, surtout si vous ĂȘtes droitiĂšre et que c’est la jambe droite qui est au-dessus et inversement pour les gauchĂšres. Les jambes croisĂ©es ou –pire- entortillĂ©es sont un signe d’autoprotection, tout comme les jambes repliĂ©es sous la chaise qui montrent votre timiditĂ©. Alors, pour prouver qu’on a confiance en soi, on les dĂ©croise et on pose nos pieds bien Ă  plat sur le sol. Les jambes hyperactives position debout plutĂŽt que de croiser les jambes signe de timiditĂ© ou de taper du pied signe d’exaspĂ©ration, on pose nos pieds Ă  plat et on se tient droite. Les pieds L’orientation si les pointes des pieds de vos collĂšgues ne n’ouvrent pas quand vous vous approchez d’eux, c’est qu’ils ne veulent pas que vous vous joignez Ă  la conversation. En revanche, si l’un d’eux oriente ses pieds vers vous, c’est qu’il vous invite Ă  les rejoindre. Les pieds qui se balancent la personne s’ennuie ou se sent mal Ă  l’aise. Quoiqu’il en soit, elle n’a qu’une idĂ©e en tĂȘte dĂ©guerpir. Pour aller plus loin Ces gestes qui vous trahissent, Joseph Messinger, First 2013 DĂ©coder la gestuelle de votre interlocuteur, Martine Tardy, Ă©ditions Dangles 2011. A lire Ă©galement Les hommes dĂ©voilent les gestes anodins des femmes qu’ils trouvent trĂšs sexy Nouvelle relation quel est le geste efficace pour montrer son engagement ? 5 exercices pour avoir un regard vif La grammaire â–ș vous ĂȘtes iciGrammaireLes diffĂ©rentes propositions subordonnĂ©esSommaire Introduction Les propositions subordonnĂ©es conjonctives DĂ©finition Fonctions Les propositions subordonnĂ©es complĂ©tives sujets Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es attributs Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es en apposition Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments d’objet Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments d’agent Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments de l’adjectif Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments du nom ou du pronom Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es interrogatives indirectes DĂ©finition Fonction Les propositions subordonnĂ©es infinitives et participiales DĂ©finition Fonction IntroductionLe mot subordonnĂ© Ă©voque un Ă©tat de dĂ©pendance. De fait, les propositions subordonnĂ©es sont soumises Ă  une autoritĂ©, celle de la proposition principale dont elles dĂ©pendent. Pour caractĂ©riser une proposition subordonnĂ©e, on emploiera, selon le cas, les mots relative, conjonctive, complĂ©tive, circonstancielle, interrogative indirecte, infinitive, participiale, parlerons dans cette page des propositions subordonnĂ©es complĂ©tives, relatives, interrogatives indirectes, infinitives et participiales.→ N’hĂ©sitez pas Ă  consulter aussi les subordonnĂ©es propositions subordonnĂ©es conjonctivesDĂ©finitionSont dites propositions subordonnĂ©es conjonctives les propositions subordonnĂ©es qu’introduisent une conjonction que, quand, puisque, comme ou une locution conjonctive de subordination alors que, parce que, pour que, bien que, si bien que, etc..FonctionsOn distingue les subordonnĂ©es conjonctives complĂ©tives, introduites par que, Ă  ce que, de ce que, qui, le plus souvent, complĂštent un verbe et jouent le rĂŽle d’un complĂ©ment d’objet direct, indirect ou second ; Exemple Chacun sait que chat Ă©chaudĂ© craint l’eau froide. les subordonnĂ©es conjonctives circonstancielles, introduites par les autres conjonctions ou locutions conjonctives, qui permettent d’établir entre la principale et la subordonnĂ©e un rapport temporel expression du temps ou logique expression de la cause, de la consĂ©quence, du but, de l’opposition, de la condition, de la comparaison et jouent ainsi le rĂŽle d’un vĂ©ritable complĂ©ment circonstanciel. Exemple Quand le chat n’est pas lĂ , les souris dansent.→ À lire Comment exprimer la circonstance dans la phrase simple et complexe ?Les propositions subordonnĂ©es complĂ©tives sujetsFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e sujet peut ĂȘtre Une proposition introduite par la conjonction que aprĂšs un verbe de forme impersonnelle. Exemple Il faut que j’aille. Une proposition introduite par que en tĂȘte de phrase. Exemple Que tu aies gagnĂ© ce concours me remplit de joie. Une proposition introduite par que aprĂšs certaines expressions comme d’oĂč vient?, de lĂ  vient, qu’importe, peu importe
 Exemple D’oĂč vient que nul n’est content de son sort ? Une proposition introduite par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui, quiconque. Exemple Qui veut la fin, veut les moyens.⚠ Remarque ⚠ Il y a subordonnĂ©e sujet commençant parque, si, comme, quand
 placĂ©e aprĂšs la principale mais annoncĂ©e en tĂȘte de la phrase par un des pronoms dĂ©monstratifs neutres ce, ceci, cela, ça. Exemple C’est Ă©tonnant comme elle a du modeLe verbe de la subordonnĂ©e se met ● Ă  l’indicatif aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la certitude ou la vraisemblance.⚠ Remarque ⚠ AprĂšs le verbe sembler que avec les pronoms me, te, se, nous, vous, se, on met gĂ©nĂ©ralement l’indicatif. AprĂšs il semble que, on met l’indicatif ou le subjonctif selon que l’on exprime le fait avec plus ou moins de certitude. Exemple 1 Il me semblait que c’était la haine qui faisait parler Françoise. Exemple 2 Il semblait que les forces rĂ©volutionnaires dussent triompher. ● au subjonctif – aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la nĂ©cessitĂ©, la possibilitĂ©, le doute, l’obligation ou un sentiment personnel. Exemple Il faut qu’on soit sincĂšre. – aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la certitude ou la vraisemblance et exprimant un sens nĂ©gatif, interrogatif au conditionnel. Exemple Est-il sĂ»r que Michel ait commis une pareille erreur ? – quand la subordonnĂ©e introduite par que est placĂ©e en tĂȘte de la phrase. Exemple Que le printemps vienne.● au conditionnel aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la certitude ou la vraisemblance lorsqu’on exprime un fait Ă©ventuel ou dĂ©pendant d’une condition. Il en est de mĂȘme dans la proposition sujet introduite soit par que aprĂšs d’oĂč vient ?, qu’importe
, soit par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui ou quiconque. Exemple Il est Ă©vident que vous feriez ce travail.● Ă  l’infinitif le verbe de la subordonnĂ©e sujet est parfois Ă  l’infinitif accompagnĂ© par son sujet propre. Exemple Un citoyen trahir son pays, cela mĂ©rite un propositions subordonnĂ©es attributsFormes et mots subordonnants● La subordonnĂ©e attribut peut ĂȘtre introduite par la conjonction que et venant aprĂšs certaines locutions formĂ©es d’un sujet et du verbe ĂȘtre comme mon avis est, le malheur est, le mieux est, la preuve en est
 Exemple Mon avis est que vous avez raison.● On a parfois une subordonnĂ©e attribut introduite par le pronom relatif indĂ©fini qui = celui que ou par le relatif quoi prĂ©cĂ©dĂ© par une prĂ©position. Exemple 1 Le coupable n’est pas qui vous croyez. Exemple 2 C’est prĂ©cisĂ©ment Ă  quoi je pensais.● On peut considĂ©rer comme des subordonnĂ©es attributs certaines propositions relatives introduites par qui — aprĂšs les verbes ĂȘtre, se trouver, rester
 suivis d’une indication de lieu ou de situation. — aprĂšs un verbe de perception exprimant une maniĂšre d’ĂȘtre du sujet ou du de la principale. Exemple — Votre ami est lĂ  qui attend attendant. — Il est aujardin qui rĂȘve rĂȘvant. — Je le vois qui arrive arrivant [ du modeLe verbe de la subordonnĂ©e attribut se met ● Ă  l’indicatif quand cette subordonnĂ©e exprime un fait rĂ©el ou considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Mon opinion est que tu as rempli tes obligations.● au subjonctif quand on exprime un fait envisagĂ© dans la pensĂ©e avec un sentiment personnel souhait, dĂ©sir, volonté . Exemple Mon dĂ©sir est que tu remplisses tes obligations.● au conditionnel quand on exprime un fait Ă©ventuel ou dĂ©pendant d’une condition. Exemple Mon opinion est que tu remplirais ainsi tes propositions subordonnĂ©es en appositionFormes et mots subordonnants● La subordonnĂ©e en apposition est une proposition introduite par la conjonction que au sens de Ă  savoir que et jointe Ă  un nom ou Ă  un pronom pour le dĂ©finir ou l’expliquer comme le ferait un nom en apposition. Exemple La bĂȘtise Ă  ceci de terrible qu’elle peut ressembler Ă  la plus profonde sagesse.● Dans qui mieux est , qui pis est , qui plus est , on a des subordonnĂ©es en apposition introduites par le pronom relatif au sens de ce qui ». Exemple Elle m’a bien accueilli et, qui plus est, elle m’a fĂ©licitĂ©.● Nous avons rangĂ© parmi les subordonnĂ©es sujets les propositions introduites par qui et reprises par ce, cela, la chose, le fait
 Exemple Que vous ayez trouvĂ© la bonne solution, cela vous honore. De mĂȘme les propositions introduites par que, si, comme, quand, lorsque et annoncĂ©es par ce, ceci, cela, ça. Exemple C’est un bien que nous ignorions l’ du modeLe verbe de la subordonnĂ©e en apposition se met ● Ă  l’indicatif quand la subordonnĂ©e en apposition exprime un fait considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Le fait qu’il reprend courage prĂ©sage sa guĂ©rison.● au subjonctif quand la subordonnĂ©e en apposition exprime un fait envisagĂ© simplement dans la pensĂ©e avec un sentiment personnel souhait, dĂ©sir, volonté . Exemple Cette chose est tout Ă  fait inadmissible que Biche doive mourir.● au conditionnel quand la subordonnĂ©e en apposition exprime un fait Ă©ventuel probable ou soumis Ă  une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple Je reviens Ă  ce principe que les hommes seraient meilleurs s’ils se connaissaient mieux propositions subordonnĂ©es complĂ©ments d’objetFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e ou peut se prĂ©senter sous quatre formes ● Elle peut ĂȘtre introduite par la conjonction que. Exemple Vous savez que votre heure viendra.⚠ Remarques ⚠ ● La subordonnĂ©e peut ĂȘtre parfois introduite par une des locutions conjonctives Ă  ce que, de ce que. Exemple Il s’attend Ă  ce qu’il viendra. ● Voici et voilĂ  peuvent se faire suivre d’une subordonnĂ©e introduite par que, cette subordonnĂ©e complĂ©ment du prĂ©sentatif est assimilable Ă  une subordonnĂ©e Exemple Voici que la nuit vient.● La subordonnĂ©e ou peut ĂȘtre introduite par un mot interrogatif si, quand, qui
 dans l’interrogation indirecte. Exemple Dis-moi qui tu es.● La subordonnĂ©e ou peut ĂȘtre introduite par aucun mot subordonnant et ĂȘtre constituĂ©e par un infinitif avec un sujet propre. Une telle proposition s’appelle proposition infinitive, elle s’emploie comme complĂ©ment aprĂšs des verbes marquant une perception des sens apercevoir, voir, regarder, entendre, ouĂŻr, sentir, toucher, ou encore aprĂšs faire ou laisser. Exemple J’entends les oiseaux chanter.⚠ Remarques ⚠ ● On n’a de proposition infinitive que si l’infinitif a son sujet propre exprimĂ© ou non. Exemple J’entends parler autour de moi. On peut avoir une proposition infinitive aprĂšs le prĂ©sentatif voici et surtout avec l’infinitif venir. Exemple Voici venir les enfants. ● Une proposition infinitive peut dĂ©pendre d’un des verbes dire, croire, savoir
 mais Ă  peu prĂšs uniquement avec le pronom relatif que sujet. Exemple Je ramenais la conversation sur des sujets que je savais l’intĂ©resser.● La subordonnĂ©e ou peut ĂȘtre introduite par un pronom relatif indĂ©fini qui, quiconque. Exemple Mari qui vous du modeLe verbe de la proposition subordonnĂ©e ou se met ● Ă  l’indicatif aprĂšs un verbe exprimant une opinion, une dĂ©claration, une perception quand le fait est considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Je m’aperçois que j’ai fait une erreur.● au subjonctif aprĂšs un verbe principal exprimant une opinion, une perception quand le fait est envisagĂ© simplement dans la pensĂ©e, ce qui se prĂ©sente souvent lorsque ces verbes sont dans la principale nĂ©gatifs, interrogatifs, conditionnels. Exemple Je ne crois que la richesse fasse le bonheur. Cependant, mĂȘme quand la principale est nĂ©gative ou interrogative, les verbes d’opinion ou de dĂ©claration demandent dans la subordonnĂ©e l’indicatif si l’on veut marquer la rĂ©alitĂ© du fait. Exemple Elle ne croit pas que la santĂ© vaut plus que tout.● aprĂšs un verbe principal exprimant la pensĂ©e, le doute, le sentiment
 Exemple Je veux qu’on dise la vĂ©ritĂ©.● quand cette subordonnĂ©e ou est mise en tĂȘte de la phrase et dĂ©pendant de la principale. Exemple Que mon ordre doive ĂȘtre exĂ©cutĂ©, vous le propositions subordonnĂ©es complĂ©ments d’agentFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e complĂ©ment d’agent du verbe passif est introduite par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui, quiconque. L’un et l’autre prĂ©cĂ©dĂ© d’une des prĂ©positions par ou de. Exemple Cette maison sera habitĂ©e par qui la du modeLe verbe de la subordonnĂ©e complĂ©ment d’agent se met ● Ă  l’indicatif si le fait est considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Elle est aimĂ©e de quiconque la connaĂźt.● au subjonctif si le fait est envisagĂ© dans la pensĂ©e avec un certain sentiment personnel. Exemple Ils souhaitaient ĂȘtre louĂ©s par quiconque leur parlĂąt.● au conditionnel si le fait est Ă©ventuel ou soumis Ă  une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple Le vol n’a pas Ă©tĂ© commis par qui on propositions subordonnĂ©es complĂ©ments de l’adjectifFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e complĂ©ment de l’adjectif se joint Ă  certains adjectifs exprimant en gĂ©nĂ©ral une opinion ou un sentiment tel que heureux, digne, sĂ»r, certain, etc. Elle est introduite par que, parfois par de ce que ou Ă  ce que ou par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui, quiconque prĂ©cĂ©dĂ© par une prĂ©position. Exemple Ce mode d’emploi est utile seulement pour qui n’y connaĂźt rien.⚠ Remarque ⚠ Parmi les subordonnĂ©es complĂ©ments de l’adjectif, il y a les subordonnĂ©es complĂ©ments du comparatif. Exemple Mon ami, aussi calme que je suis vif, me conseille la du modeLe verbe de la subordonnĂ©e complĂ©ment de l’adjectif se met ● Ă  l’indicatif quand elle exprime un fait considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Trop certain qu’il peut compter sur mon aide, il s’engage Ă  la lĂ©gĂšre.● au subjonctif quand elle exprime un fait envisagĂ© dans la pensĂ©e. Exemple Heureux qu’on lui fasse tant d’honneur, il se confond en remerciements.● au conditionnel avec un fait Ă©ventuel ou soumis Ă  une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple Mes parents, sĂ»rs que je rĂ©ussirais Ă  mes examens, si ma santĂ© Ă©tait bonne.⚠ Remarques ⚠ ● Quand l’adjectif est construit avec ĂȘtre, le mode de la subordonnĂ©e complĂ©ment de cet adjectif dĂ©pend de la forme de la principale ou de la nuance Ă  exprimer. Ainsi aprĂšs une principale nĂ©gative ou interrogative, on a d’ordinaire le subjonctif mais l’indicatif est aussi possible. Exemple Je ne suis pas certaine qu’il vienne / qu’il viendra. ● Certains adjectifs exprimant un sentiment admettent pour la construction de la subordonnĂ©e qu’ils complĂštent, non seulement que, avec le subjonctif, mais parfois aussi de ce que, ordinairement avec l’indicatif. Exemple Heureux qu’on lui fasse / fait d’honneur, il se confond en propositions subordonnĂ©es complĂ©ments du nom ou du pronomFormes et mots subordonnants● La subordonnĂ©e complĂ©ment du nom ou du pronom se joint au nom ou au pronom pour en prĂ©ciser le sens comme pourrait le faire un nom ou un adjectif. Elle est introduite par un pronom relatif, c’est donc une subordonnĂ©e relative.● De point de vue du sens, la subordonnĂ©e relative complĂ©ment du nom ou du pronom est — complĂ©ment dĂ©terminatif quand elle restreint la signification de l’antĂ©cĂ©dent. Ce qui fait que l’on ne peut pas la retrancher sans nuire au sens de la phrase. Exemple Les plantes qui ne sont pas arrosĂ©es rĂ©guliĂšrement dĂ©pĂ©rissent trĂšs vite. — complĂ©ment explicatif quand elle ajoute Ă  l’antĂ©cĂ©dent une explication accessoire ce qui fait qu’on peut la retrancher sans nuire au sens de la phrase. Elle est gĂ©nĂ©ralement mise entre deux virgules. Exemple Notre projet de barrage, qui a connu une forte concurrence, vient d’ĂȘtre sĂ©lectionnĂ©.⚠ Remarques ⚠ ● La subordonnĂ©e introduite par la conjonction que et prĂ©cisant un nom est une subordonnĂ©e complĂ©ment dĂ©terminatif du nom. Exemple L’espoir qu’elle guĂ©rira me soutient. ● On a dĂ©jĂ  signalĂ© que certaines propositions comme dans les phrases votre ami est lĂ  qui attend
 peuvent ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme des subordonnĂ©es attributs. ● Souvent la subordonnĂ©e relative tout en prĂ©cisant un nom ou un pronom joue le rĂŽle d’un complĂ©ment circonstanciel et exprime une idĂ©e de but, de cause
 Exemple Je cherche un mĂ©decin qui puisse le guĂ©rir sens de but.Emploi du modeLe verbe de la proposition subordonnĂ©e relative se met ● Ă  l’indicatif si elle exprime un fait considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple J’ai choisi un conseiller que la raison conduit.● au subjonctif si le fait est considĂ©rĂ© dans la pensĂ©e avec un sentiment personnel. Exemple Je voudrais inventer une machine qui me fasse voyager dans le temps.⚠ Remarques ⚠ ● Cette derniĂšre rĂšgle n’est pas absolue, on met l’indicatif quand la subordonnĂ©e relative exprime un fait dont on veut marquer la rĂ©alitĂ©. Exemple Les mauvais succĂšs sont les seuls maĂźtres qui peuvent nous reprendre utilement Bossuet. ● AprĂšs une principale nĂ©gative, interrogative ou conditionnelle, si la subordonnĂ©e relative exprime un fait considĂ©rĂ© dans la pensĂ©e et avec un certain sentiment, elle a son verbe au subjonctif. Exemple Il n’y a pas d’homme qui soit immortel. Mais on met l’indicatif si la relative exprime un fait dont on veut marquer la rĂ©alitĂ©. Exemple Je ne crains pas ce chien qui nous poursuit.● au conditionnel quand la subordonnĂ©e exprime un fait Ă©ventuel ou soumis Ă  une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple L’homme qui connaĂźtrait l’avenir serait-il heureux ?● Ă  l’infinitif sans sujet exprimĂ©. Exemple Il cherchait une main Ă  quoi s’ propositions subordonnĂ©es interrogatives indirectesDĂ©finition● Sont dites propositions subordonnĂ©es interrogatives indirectes les propositions subordonnĂ©es qu’introduit un mot interrogatif. Exemple Je me demande s’il n’y a pas quelque anguille sous roche.● Le mot interrogatif peut ĂȘtre — l’adverbe si dans le cas d’une interrogation totale ; — un pronom qui, ce qui, ce que, quoi, lequel, un dĂ©terminant quel ou un adverbe interrogatif oĂč, quand, comment, combien, pourquoi, dans le cas d’une interrogation partielle.⚠ Remarques ⚠ Il est toujours possible de transformer une subordonnĂ©e interrogative indirecte en interrogation directe. Ainsi la proposition de l’exemple devient l’interrogation totale Y a-t-il anguille sous roche ?FonctionUne proposition subordonnĂ©e indirecte est toujours complĂ©ment d’objet direct du verbe de sens interrogatif demander, se demander, ignorer, savoir, etc. utilisĂ© dans la proposition principale. Ainsi, dans l’exemple, la proposition s’il n’y a pas anguille sous roche est COD du verbe me propositions subordonnĂ©es infinitives et participialesDĂ©finitionLes propositions subordonnĂ©es infinitives et participiales ont ceci de particulier qu’aucun mot subordonnant ne les introduit. On les reconnaĂźt au fait qu’elles contiennent un verbe Ă  l’infinitif ou au participe prĂ©sent ou passĂ© ayant un sujet propre, donc diffĂ©rent du sujet du verbe dont ces subordonnĂ©es dĂ©pendent. Exemple 1 La faim fait sortir le loup du bois c’est une proposition infinitive. Exemple 2 Delphine et Marinette ayant invitĂ© le loup chez elles, celui-ci leur proposa de jouer avec lui c’est une proposition participiale.FonctionUne proposition subordonnĂ©e infinitive dĂ©pend d’un verbe de perception voir, entendre, sentir, Ă©couter, etc. ou des verbes laisser et faire ; elle est toujours complĂ©ment d’objet proposition subordonnĂ©e participiale est toujours complĂ©ment circonstanciel. Ainsi, dans l’exemple prĂ©cĂ©dent, la proposition Delphine et Marinette ayant invitĂ© le loup chez elles est complĂ©ment circonstanciel de connexes Liste des leçons de grammaire. Autres leçons de grammaire La nature et la fonction. – Le groupe nominal. – Les mots invariables. – Les fonctions dans la phrase simple. – Les complĂ©ments circonstanciels. – Les propositions subordonnĂ©es. Savez-vous employer correctement les interjections ? Savez-vous former correctement les adverbes ? Autres rubriques Ă  consulter Conjugaison. – Vocabulaire. – Orthographe. – de livresRecherche sur le site dod10 dod10 January 2021 1 47 Report Est-ce-que vous pouvez me dire 5 phrases en anglais qui raconte ce que vous faisiez quand vous etez petit mais plus maintenant merci d'avance. Please enter comments Please enter your name. Please enter the correct email address. Agree to terms and service You must agree before submitting. Lista de comentĂĄrios CobraLemming7 1. I don't drink milk from a bottle I don't suck on a dummy I don't eat my hands/ fingers I don't get carried I don't walk on 4s 0 votes Thanks 0 dod10 merci CobraLemming7 derien More Questions From This User See All dod10 February 2021 0 Respostas Est-ce-que vous pouvez me donner en lettres les chiffres de 0 a 20 en espagnol Responda dod10 February 2021 0 Respostas Est-ce-que vous pouvez me conjuguer a toutes les personnes du singulier et du pluriel hablar beber salir Responda dod10 February 2021 0 Respostas Responda dod10 February 2021 0 Respostas Responda dod10 January 2021 0 Respostas Comment dis-t-on en espagnol rose / renard / chien Responda dod10 January 2021 0 Respostas est-ce que vous pouvez me dire des verbes de gouts en anglais Responda dod10 January 2021 0 Respostas Comment on convertit les heures 2h48min Responda dod10 January 2021 0 Respostas Comment on convertit des heures? 3h45min Responda dod10 January 2021 0 Respostas Est-ce-que vous pouvez me dire 5 personnes qui parlent anglaises et qui sont morts Responda Dod10 April 2019 0 Respostas Responda

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