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30petites tĂąches Ă faire maintenant (pour ĂȘtre heureux, plus tard, de les avoir faites!) Par Charlotte Hilton Andersen, Ă jour: Oct. 24, 2018. Prenez cinq minutes aujourdâhui pour vous Ă©pargner des heures de
Enfait, je vais travailler en Plan de travail avec les CE1 et les problÚmes y seront inclus: fiche 1 obligatoire (niveau 1) et fiche 2 pour les plus rapides-les meilleurs (niveau2). Le plan durera 2 semaines. La premiÚre période comptera donc 3 plans. Les fiches 1, 3, 5 seront faites par tous et les 2, 4, 6 que par certains.
PriÚrede MÚre Teresa : « Ce que vous ferez au plus petit des miens » Une priÚre de MÚre Teresa sur l'amour des autres. Rubriques Lexique
vraimentl'Evangile en acti on: «Ce que vous faites au plus petit d. '. entre les miens, c'e st à moi que vous le faites». pcf.va. pcf.va. She tr uly is the Gospel in ac tion: "Whatsoever you do for the least of these little ones, so you do unto me". pcf.va. pcf.va.
ce que vous faites au plus petit dentre les miens c. gandhi et la parole « ce que vous faites au plus petit de. citations motivantes quotidiennes motivation au travail. gestes cologiques au quotidien 14 gestes faites les. ne faites qu une bouche de vos projets avec du saucisson. mditation « ce que vous aurez fait au plus petit d. ment tre sr que je mdite correctement petit
. L'histoire Ils Ă©taient deux, le Grand et le Petit. Les deux frĂšres vivaient chez le roi et se prĂ©lassaient dans un coin de sa cour. Le roi avait beaucoup de cabanes et beaucoup de champs de taro, beaucoup de nattes et de rĂ©cipients de noix de coco, beaucoup de chapelets de beaux coquillages, mais il n'Ă©tait pas Grand et le Petit travaillaient pour le roi, mais ne possĂ©daient rien, sans doute ne savaient-ils pas Ă©pargner. Chez le roi la nourriture circulait beaucoup, mais n'arrivait pas toujours jusqu'Ă eux, si bien que le Grand, qui avait toujours faim, Ă©tait repas du roi Ă©taient prĂ©parĂ©s par de nombreux villages, le deuxiĂšme aprĂšs le premier, le troisiĂšme aprĂšs le deuxiĂšme, et ainsi, toujours et toujours, tour Ă tour. Quand un village cuisinait pour le roi, le parfum de cuisine trottait sur tout le pays, puis trottait avec des chants, quand les gens portaient la nourriture au parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va Ă leur rencontre, dit le Grand Ă son frĂšre. Prends la nourriture de leurs mains, et que tes jambes la portent devant le roi. Le roi aura beaucoup de bonnes choses Ă manger et beaucoup de parfum, et son estomac sera trĂšs rempli, alors il te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras, et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă ton grand frĂšre. Car mon estomac rĂ©clame Ă manger de nouveau. » Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Il attendait qu'arrive la nourriture, pour la partager entre le roi et le gens se demandĂšrent pourquoi le Petit Ă©tait assis sur les marches. Le roi ordonna que l'on appelle le Petit. Pourquoi es-tu assis sur mes marches ? demanda le roi.â Je suis le Petit, et j'ai faim ĂŽ mon roi, mais mon frĂšre est le Grand, et il a trĂšs grand-faim. J'attends que l'on vienne du village avec ton repas, je t'apporterai la nourriture et je recevrai de toi un morceau pour mon frĂšre. »Le roi dit aux serviteurs Donnez-lui une conque. »Ils lui donnĂšrent une conque, et le roi dit Porte-la Ă ton frĂšre, et dĂ©broussaillez notre village. Vos mains travailleront et vos oreilles n'entendront pas crier votre estomac. Va et fais ce que j'ai dit. »Le Petit alla vers son frĂšre, et le village arriva chez le roi avec la nourriture. Le Petit dit au Grand ce qu'avait ordonnĂ© le roi. DĂ©broussailler tout le village avec une seule conque, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. » Les gens se couchĂšrent et dormirent, puis ils se levĂšrent et sortirent devant leurs cabanes. Ils s'Ă©tonnĂšrent de voir que toutes les broussailles avaient Ă©tĂ© coupĂ©es. Puis ils rirent et ils hochĂšrent la tĂȘte, et ils fĂ©licitĂšrent les frĂšres. Seulement, pas un seul mot ne sortit de la maison du deuxiĂšme village prĂ©para le repas du roi. Le parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va, et attends pour les rencontrer, dit le Grand au Petit. Porte la nourriture au roi et le roi te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă ton grand frĂšre. Notre estomac crie trĂšs fort, car cette nuit nous avons beaucoup travaillĂ©, mais hier il n'a rien mangĂ©, pas plus qu'aujourd'hui. Rappelle au roi que nous avons fait ce qu'il nous a commandĂ©. »Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Le roi apprit que le Petit Ă©tait encore assis sur les marches. Le roi dit Ă ses serviteurs Donnez au Petit une botte de bambou, afin que les frĂšres bĂątissent une maison pour le roi. » Le Petit retourna auprĂšs de son frĂšre, et le deuxiĂšme village arriva chez le roi avec son repas. BĂątir une maison avec une botte de tiges de bambou, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. »Les gens se levĂšrent quand ils virent que c'Ă©tait le jour. Ils admirĂšrent la nouvelle maison du roi. Puis ils rirent et hochĂšrent la tĂȘte, et prononcĂšrent des paroles qui rĂ©chauffĂšrent les frĂšres, mĂȘme si leur ventre pleurait, et si leur tĂȘte et leurs jambes voulaient de l'ancienne maison du roi pas un seul mot ne sortit. Quand le troisiĂšme village prĂ©para le repas du roi, le Petit Ă©tait dĂ©jĂ assis sur les marches de pierre. Un serviteur du roi vint et lui donna une hache. Faites un nouveau canoĂ« pour le roi ! » Le Petit et le Grand construisirent un beau et grand canoĂ«. Le soleil se leva, les gens aussi, et ils virent le nouveau canoĂ« devant la maison du roi. Tous les gens du village admiraient tellement le canoĂ« qu'ils n'allĂšrent mĂȘme pas manger, ni pĂȘcher du poisson. De leur bouche coulaient de belles paroles, ils ne trouvaient aucun dĂ©faut au canoĂ«. Mais de la maison du roi ne sortit aucun mot. De la maison du roi ne vint pas le moindre morceau de nourriture qui eĂ»t pu se partager en deux plus petits morceaux. Les gens admiraient le canoĂ«, mais dĂ©jĂ le Grand et le Petit ne les voyaient plus. Ils Ă©taient partis sur le rivage et construisaient un grand radeau. Le nom des frĂšres courait Ă travers tout le pays, et les gens de tous les villages appelaient Ă venir voir le canoĂ«. Les gens accouraient de partout et apportaient des noix de coco pour les frĂšres. Les frĂšres mirent les noix de coco sur le radeau. Ils prirent Ă©galement des rĂ©cipients avec de l'eau, car ils partaient en haute s'enfuirent sur la mer salĂ©e, pour qu'elle boive leurs larmes, les larmes salĂ©es d'amertume. Ils se plaignaient du roi, qui s'Ă©tait montrĂ© ingrat et Ă©goĂŻste. Il y avait beaucoup de noix de coco sur le radeau, mais cela faisait dĂ©jĂ beaucoup de jours que la mer transportait le radeau. Le Grand avait dĂ©jĂ mangĂ© toutes ses noix de coco, maintenant le Petit donnait ses noix Ă son frĂšre. BientĂŽt il n'y eut plus qu'une seule noix sur le radeau. Le Grand gisait sur le radeau, et sa force s' dit au Petit RĂ©jouis ton cĆur, frĂšre. Notre radeau ne va voguer plus qu'un jour et une nuit, puis nous aborderons une nouvelle Ăźle. RĂ©jouis ton cĆur, car tu ne mourras pas dans un village Ă©tranger, mais tu mourras lĂ oĂč nous sommes nĂ©s. »Il s'allongea sur le radeau, et ses yeux regardĂšrent le soleil. Puis il s'endormit pour toujours. Le Petit chanta un chant funĂšbre, et dans sa tĂȘte passĂšrent les chants et les odeurs qu'il avait partagĂ©s avec son frĂšre. Puis il cassa la derniĂšre noix, et le radeau, aprĂšs une journĂ©e et une nuit, aborda sur la rive. Le Petit mit pied Ă terre, mais toutes ses forces avaient quittĂ© sa tĂȘte, son corps et ses jambes. Il avait envie de dormir, de dormir long du rivage un homme et une femme se promenaient. Ils passĂšrent sur les jambes du Petit. Ils crurent qu'ils marchaient sur un arbre. Ils se penchĂšrent et virent que ce n'Ă©taient pas deux branches, mais des jambes. Ils dirent D'oĂč viens-tu, homme-arbre ? »Le Petit se leva et alla avec eux dans leur cabane. Ils lui donnĂšrent une natte pour dormir et de la nourriture. Il mangea avec eux, il travailla avec eux. Quand la force revint dans ses bras et dans ses jambes, et quand sa tĂȘte fut plus claire, il dit Ă l'homme et Ă la femme Je veux parcourir votre Ăźle et voir de nouvelles choses et un nouveau pays. »L'homme et la femme le laissĂšrent partir, mais ils lui dirent Tu arriveras Ă un endroit oĂč se dressent deux rochers. Il te faut passer entre eux. Mais les rochers ne restent pas immobiles, ils sautent l'un contre l'autre sans cesse. Seul celui qui a le pied rapide passe entre eux vivant ; celui qui a le pied lent, ils lui Ă©crasent la tĂȘte comme une noix. »Le Petit partit et dĂ©couvrit de nouveaux villages. Puis il arriva devant les rochers. C'Ă©taient de trĂšs grands rochers, et ils sautaient l'un vers l'autre en faisant grand bruit. Le Petit passa entre eux, repoussant l'un d'un coup d'Ă©paule et l'autre d'un coup de pied. Puis il les Ă©crasa en petits morceaux, et rĂ©pandit les cailloux sur le sol C'est bien fait pour vous, mauvais rochers qui avez Ă©crasĂ© la tĂȘte des gens ! »Il retourna chez l'homme et la femme, mangea avec eux, travailla aux champs avec eux. Une fois l'homme lui dit Homme-arbre, viens avec nous pĂȘcher le poisson, il n'y a plus de chair Ă manger, et les femmes et les enfants ont faim. »Ils se dirigĂšrent vers le rivage et marchĂšrent sur la grĂšve, mais dans la mer il y avait beaucoup de requins. Les gens se demandaient comment ils allaient pouvoir pĂȘcher, car ils mouraient de faim. Ils criĂšrent Qui ira dans l'eau pour chasser les requins ?â Moi, dit le Petit. » Il sauta entre les requins, les requins sautĂšrent sur Petit saisit une noix de coco, qui flottait sur l'eau, et en donna des coups Ă tous les requins, les tuant. De grandes vagues et des tourbillons noyĂšrent et engloutirent les requins, mais elles emportĂšrent loin dans la mer le Petit. Les gens, Ă©tonnĂ©s, l'appelĂšrent de la berge. Ils renoncĂšrent Ă le secourir, car les vagues Ă©taient trop fortes pour leurs Petit nageait, nageait de toutes ses forces quand il entendit une voix qui l'appelait du fond de la il vit le Grand qui lui dit Je t'amĂšne des poissons. Accroche-toi Ă leur queue, ils te mĂšneront sur la grĂšve. »Ils ramenĂšrent le Petit jusqu'au rivage, et le Petit aperçut l'homme et la femme, qui se rĂ©jouirent de son retour. Ils lui dirent Homme-arbre, tu veux rentrer chez toi ?â Oui, dit le Petit. »Ils dĂ©posĂšrent une trĂšs grande feuille sur le rivage, et ils dirent Mets-toi sur cette feuille. »Le Petit se coucha dessus, et ils le recouvrirent avec une autre trĂšs grande feuille. Puis ils dĂ©coupĂšrent un morceau du rivage avec la feuille, et ils le placĂšrent sur l'eau, comme un radeau. La mer emporta le radeau avec le Petit jusqu'Ă l'Ăźle oĂč Ă©taient nĂ©s les deux frĂšres. Le roi apprit que le Petit Ă©tait revenu. Il envoya sa femme se dissimuler entre les cannes Ă sucre. Lui-mĂȘme, il grimpa dans le trou par lequel sortait la fumĂ©e de la cheminĂ©e de sa maison. Le Petit arriva, et il dĂ©busqua le roi. Roi, pourquoi es-tu assis dans le trou que la fumĂ©e a sali ?â Je veux que mon corps reçoive un peu de chaleur », dit le roi Ă voix basse, et tout tremblant. Moi aussi, je veux recevoir un peu de chaleur dans mon corps. Mais avec ton corps, tu as bouchĂ© le trou pour la fumĂ©e, et je ne peux pas me rĂ©chauffer. Je me souviens combien j'avais faim et plus encore mon frĂšre, quand tu Ă©tais roi et que tu nous prenais notre part. Viens avec moi ! »Ils sortirent de la maison, et le Petit poussa le roi devant lui, jusqu'Ă l'endroit oĂč le roi avait des cannes Ă sucre. Pourquoi es-tu assise dans les cannes Ă sucre ? se moqua le Petit en tirant la reine par sa robe. Je voulais en prendre et en manger. Mais tu es ici, et je ne peux pas. Je me souviens comment c'Ă©tait quand nous sommes partis avec mon Grand frĂšre sur un radeau et que nous n'avions pas la moindre noix de coco. Et comment mon frĂšre est mort. Viens avec moi ! »Le Petit poussa devant lui la reine et le roi, et le sourire lui tomba des lĂšvres. Dans sa tĂȘte passa une ombre chaude et Petit les força Ă embarquer sur le radeau, qu'il poussa sur la mer libre. Il leur cria, tandis qu'ils s'Ă©loignaient Vos oreilles Ă©taient bouchĂ©es pour ne pas entendre nos ventres qui pleuraient de faim. Vos yeux Ă©taient aveugles et ne voyaient pas que de nos yeux coulaient des larmes salĂ©es. Allez sur la mer et goĂ»tez combien elle brĂ»le, l'eau salĂ©e ! Ăcoutez comment il chante, le ventre creux ! »Les grandes vagues poussĂšrent le radeau, qui devint de plus en plus petit. Le Petit le regarda s'Ă©loigner Quand vous rencontrerez le Grand, mon frĂšre, qui est mort par lĂ , dites-lui que je suis revenu sur l'Ăźle oĂč nous sommes nĂ©s, lui et moi. Dites-lui que je suis revenu et que je vous ai envoyĂ©s vers lui, pour qu'il vous dise ceci "Ne fais rien de ce qui amĂšne les larmes dans les yeux des gens et la colĂšre dans leur cĆur !" »AprĂšs, il retourna au village. , Contes d'OcĂ©anie, ill. Peggy Nille, rue des enfants DĂ©couvrir Le cocotier et la noix de cocoLe cocotier fait partie de la famille des palmiers. Il pousse surtout dans les rĂ©gions tropicales, prĂšs de la mer, et peut mesurer jusqu'Ă 25 mĂštres ! Ses feuilles, les palmes, sont trĂšs noix de coco est le fruit du cocotier. De couleur brune, sa coque est trĂšs dure et recouverte de longues fibres⊠on pourrait croire qu'elle a des poils !Blanc, l'intĂ©rieur du fruit s'appelle amande ». C'est cette partie qui est comestible. Le fruit est presque entiĂšrement rempli d'un liquide sucrĂ© et rafraichissant l'eau de coco. Il ne faut pas la confondre avec le lait de coco qu'on obtient en pressant la chair du fruit aprĂšs l'avoir savais-tu ?Un cocotier peut porter entre 50 et 500 noix de coco !La noix de coco met un an Ă mĂ»rir complĂ©tement ! Le jeu Ăcouter l'histoire Ils Ă©taient deux, le Grand et le Petit. Les deux frĂšres vivaient chez le roi et se prĂ©lassaient dans un coin de sa cour. Le roi avait beaucoup de cabanes et beaucoup de champs de taro, beaucoup de nattes et de rĂ©cipients de noix de coco, beaucoup de chapelets de beaux coquillages, mais il n'Ă©tait pas Grand et le Petit travaillaient pour le roi, mais ne possĂ©daient rien, sans doute ne savaient-ils pas Ă©pargner. Chez le roi la nourriture circulait beaucoup, mais n'arrivait pas toujours jusqu'Ă eux, si bien que le Grand, qui avait toujours faim, Ă©tait repas du roi Ă©taient prĂ©parĂ©s par de nombreux villages, le deuxiĂšme aprĂšs le premier, le troisiĂšme aprĂšs le deuxiĂšme, et ainsi, toujours et toujours, tour Ă tour. Quand un village cuisinait pour le roi, le parfum de cuisine trottait sur tout le pays, puis trottait avec des chants, quand les gens portaient la nourriture au parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va Ă leur rencontre, dit le Grand Ă son frĂšre. Prends la nourriture de leurs mains, et que tes jambes la portent devant le roi. Le roi aura beaucoup de bonnes choses Ă manger et beaucoup de parfum, et son estomac sera trĂšs rempli, alors il te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras, et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă ton grand frĂšre. Car mon estomac rĂ©clame Ă manger de nouveau. » Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Il attendait qu'arrive la nourriture, pour la partager entre le roi et le gens se demandĂšrent pourquoi le Petit Ă©tait assis sur les marches. Le roi ordonna que l'on appelle le Petit. Pourquoi es-tu assis sur mes marches ? demanda le roi.â Je suis le Petit, et j'ai faim ĂŽ mon roi, mais mon frĂšre est le Grand, et il a trĂšs grand-faim. J'attends que l'on vienne du village avec ton repas, je t'apporterai la nourriture et je recevrai de toi un morceau pour mon frĂšre. »Le roi dit aux serviteurs Donnez-lui une conque. »Ils lui donnĂšrent une conque, et le roi dit Porte-la Ă ton frĂšre, et dĂ©broussaillez notre village. Vos mains travailleront et vos oreilles n'entendront pas crier votre estomac. Va et fais ce que j'ai dit. »Le Petit alla vers son frĂšre, et le village arriva chez le roi avec la nourriture. Le Petit dit au Grand ce qu'avait ordonnĂ© le roi. DĂ©broussailler tout le village avec une seule conque, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. » Les gens se couchĂšrent et dormirent, puis ils se levĂšrent et sortirent devant leurs cabanes. Ils s'Ă©tonnĂšrent de voir que toutes les broussailles avaient Ă©tĂ© coupĂ©es. Puis ils rirent et ils hochĂšrent la tĂȘte, et ils fĂ©licitĂšrent les frĂšres. Seulement, pas un seul mot ne sortit de la maison du deuxiĂšme village prĂ©para le repas du roi. Le parfum et les chants frappĂšrent le nez et les oreilles des deux frĂšres. Va, et attends pour les rencontrer, dit le Grand au Petit. Porte la nourriture au roi et le roi te donnera un morceau, ce morceau tu le partageras et le plus grand morceau de ce morceau tu le donneras Ă ton grand frĂšre. Notre estomac crie trĂšs fort, car cette nuit nous avons beaucoup travaillĂ©, mais hier il n'a rien mangĂ©, pas plus qu'aujourd'hui. Rappelle au roi que nous avons fait ce qu'il nous a commandĂ©. »Le Petit alla et s'assit sur les marches de pierre de la maison du roi. Le roi apprit que le Petit Ă©tait encore assis sur les marches. Le roi dit Ă ses serviteurs Donnez au Petit une botte de bambou, afin que les frĂšres bĂątissent une maison pour le roi. » Le Petit retourna auprĂšs de son frĂšre, et le deuxiĂšme village arriva chez le roi avec son repas. BĂątir une maison avec une botte de tiges de bambou, c'est un grand travail pour deux hommes, dit le Grand. Mais nos mains travailleront quand les gens iront dormir. »Les gens se levĂšrent quand ils virent que c'Ă©tait le jour. Ils admirĂšrent la nouvelle maison du roi. Puis ils rirent et hochĂšrent la tĂȘte, et prononcĂšrent des paroles qui rĂ©chauffĂšrent les frĂšres, mĂȘme si leur ventre pleurait, et si leur tĂȘte et leurs jambes voulaient de l'ancienne maison du roi pas un seul mot ne sortit. Quand le troisiĂšme village prĂ©para le repas du roi, le Petit Ă©tait dĂ©jĂ assis sur les marches de pierre. Un serviteur du roi vint et lui donna une hache. Faites un nouveau canoĂ« pour le roi ! » Le Petit et le Grand construisirent un beau et grand canoĂ«. Le soleil se leva, les gens aussi, et ils virent le nouveau canoĂ« devant la maison du roi. Tous les gens du village admiraient tellement le canoĂ« qu'ils n'allĂšrent mĂȘme pas manger, ni pĂȘcher du poisson. De leur bouche coulaient de belles paroles, ils ne trouvaient aucun dĂ©faut au canoĂ«. Mais de la maison du roi ne sortit aucun mot. De la maison du roi ne vint pas le moindre morceau de nourriture qui eĂ»t pu se partager en deux plus petits morceaux. Les gens admiraient le canoĂ«, mais dĂ©jĂ le Grand et le Petit ne les voyaient plus. Ils Ă©taient partis sur le rivage et construisaient un grand radeau. Le nom des frĂšres courait Ă travers tout le pays, et les gens de tous les villages appelaient Ă venir voir le canoĂ«. Les gens accouraient de partout et apportaient des noix de coco pour les frĂšres. Les frĂšres mirent les noix de coco sur le radeau. Ils prirent Ă©galement des rĂ©cipients avec de l'eau, car ils partaient en haute s'enfuirent sur la mer salĂ©e, pour qu'elle boive leurs larmes, les larmes salĂ©es d'amertume. Ils se plaignaient du roi, qui s'Ă©tait montrĂ© ingrat et Ă©goĂŻste. Il y avait beaucoup de noix de coco sur le radeau, mais cela faisait dĂ©jĂ beaucoup de jours que la mer transportait le radeau. Le Grand avait dĂ©jĂ mangĂ© toutes ses noix de coco, maintenant le Petit donnait ses noix Ă son frĂšre. BientĂŽt il n'y eut plus qu'une seule noix sur le radeau. Le Grand gisait sur le radeau, et sa force s' dit au Petit RĂ©jouis ton cĆur, frĂšre. Notre radeau ne va voguer plus qu'un jour et une nuit, puis nous aborderons une nouvelle Ăźle. RĂ©jouis ton cĆur, car tu ne mourras pas dans un village Ă©tranger, mais tu mourras lĂ oĂč nous sommes nĂ©s. »Il s'allongea sur le radeau, et ses yeux regardĂšrent le soleil. Puis il s'endormit pour toujours. Le Petit chanta un chant funĂšbre, et dans sa tĂȘte passĂšrent les chants et les odeurs qu'il avait partagĂ©s avec son frĂšre. Puis il cassa la derniĂšre noix, et le radeau, aprĂšs une journĂ©e et une nuit, aborda sur la rive. Le Petit mit pied Ă terre, mais toutes ses forces avaient quittĂ© sa tĂȘte, son corps et ses jambes. Il avait envie de dormir, de dormir long du rivage un homme et une femme se promenaient. Ils passĂšrent sur les jambes du Petit. Ils crurent qu'ils marchaient sur un arbre. Ils se penchĂšrent et virent que ce n'Ă©taient pas deux branches, mais des jambes. Ils dirent D'oĂč viens-tu, homme-arbre ? »Le Petit se leva et alla avec eux dans leur cabane. Ils lui donnĂšrent une natte pour dormir et de la nourriture. Il mangea avec eux, il travailla avec eux. Quand la force revint dans ses bras et dans ses jambes, et quand sa tĂȘte fut plus claire, il dit Ă l'homme et Ă la femme Je veux parcourir votre Ăźle et voir de nouvelles choses et un nouveau pays. »L'homme et la femme le laissĂšrent partir, mais ils lui dirent Tu arriveras Ă un endroit oĂč se dressent deux rochers. Il te faut passer entre eux. Mais les rochers ne restent pas immobiles, ils sautent l'un contre l'autre sans cesse. Seul celui qui a le pied rapide passe entre eux vivant ; celui qui a le pied lent, ils lui Ă©crasent la tĂȘte comme une noix. »Le Petit partit et dĂ©couvrit de nouveaux villages. Puis il arriva devant les rochers. C'Ă©taient de trĂšs grands rochers, et ils sautaient l'un vers l'autre en faisant grand bruit. Le Petit passa entre eux, repoussant l'un d'un coup d'Ă©paule et l'autre d'un coup de pied. Puis il les Ă©crasa en petits morceaux, et rĂ©pandit les cailloux sur le sol C'est bien fait pour vous, mauvais rochers qui avez Ă©crasĂ© la tĂȘte des gens ! »Il retourna chez l'homme et la femme, mangea avec eux, travailla aux champs avec eux. Une fois l'homme lui dit Homme-arbre, viens avec nous pĂȘcher le poisson, il n'y a plus de chair Ă manger, et les femmes et les enfants ont faim. »Ils se dirigĂšrent vers le rivage et marchĂšrent sur la grĂšve, mais dans la mer il y avait beaucoup de requins. Les gens se demandaient comment ils allaient pouvoir pĂȘcher, car ils mouraient de faim. Ils criĂšrent Qui ira dans l'eau pour chasser les requins ?â Moi, dit le Petit. » Il sauta entre les requins, les requins sautĂšrent sur Petit saisit une noix de coco, qui flottait sur l'eau, et en donna des coups Ă tous les requins, les tuant. De grandes vagues et des tourbillons noyĂšrent et engloutirent les requins, mais elles emportĂšrent loin dans la mer le Petit. Les gens, Ă©tonnĂ©s, l'appelĂšrent de la berge. Ils renoncĂšrent Ă le secourir, car les vagues Ă©taient trop fortes pour leurs Petit nageait, nageait de toutes ses forces quand il entendit une voix qui l'appelait du fond de la il vit le Grand qui lui dit Je t'amĂšne des poissons. Accroche-toi Ă leur queue, ils te mĂšneront sur la grĂšve. »Ils ramenĂšrent le Petit jusqu'au rivage, et le Petit aperçut l'homme et la femme, qui se rĂ©jouirent de son retour. Ils lui dirent Homme-arbre, tu veux rentrer chez toi ?â Oui, dit le Petit. »Ils dĂ©posĂšrent une trĂšs grande feuille sur le rivage, et ils dirent Mets-toi sur cette feuille. »Le Petit se coucha dessus, et ils le recouvrirent avec une autre trĂšs grande feuille. Puis ils dĂ©coupĂšrent un morceau du rivage avec la feuille, et ils le placĂšrent sur l'eau, comme un radeau. La mer emporta le radeau avec le Petit jusqu'Ă l'Ăźle oĂč Ă©taient nĂ©s les deux frĂšres. Le roi apprit que le Petit Ă©tait revenu. Il envoya sa femme se dissimuler entre les cannes Ă sucre. Lui-mĂȘme, il grimpa dans le trou par lequel sortait la fumĂ©e de la cheminĂ©e de sa maison. Le Petit arriva, et il dĂ©busqua le roi. Roi, pourquoi es-tu assis dans le trou que la fumĂ©e a sali ?â Je veux que mon corps reçoive un peu de chaleur », dit le roi Ă voix basse, et tout tremblant. Moi aussi, je veux recevoir un peu de chaleur dans mon corps. Mais avec ton corps, tu as bouchĂ© le trou pour la fumĂ©e, et je ne peux pas me rĂ©chauffer. Je me souviens combien j'avais faim et plus encore mon frĂšre, quand tu Ă©tais roi et que tu nous prenais notre part. Viens avec moi ! »Ils sortirent de la maison, et le Petit poussa le roi devant lui, jusqu'Ă l'endroit oĂč le roi avait des cannes Ă sucre. Pourquoi es-tu assise dans les cannes Ă sucre ? se moqua le Petit en tirant la reine par sa robe. Je voulais en prendre et en manger. Mais tu es ici, et je ne peux pas. Je me souviens comment c'Ă©tait quand nous sommes partis avec mon Grand frĂšre sur un radeau et que nous n'avions pas la moindre noix de coco. Et comment mon frĂšre est mort. Viens avec moi ! »Le Petit poussa devant lui la reine et le roi, et le sourire lui tomba des lĂšvres. Dans sa tĂȘte passa une ombre chaude et Petit les força Ă embarquer sur le radeau, qu'il poussa sur la mer libre. Il leur cria, tandis qu'ils s'Ă©loignaient Vos oreilles Ă©taient bouchĂ©es pour ne pas entendre nos ventres qui pleuraient de faim. Vos yeux Ă©taient aveugles et ne voyaient pas que de nos yeux coulaient des larmes salĂ©es. Allez sur la mer et goĂ»tez combien elle brĂ»le, l'eau salĂ©e ! Ăcoutez comment il chante, le ventre creux ! »Les grandes vagues poussĂšrent le radeau, qui devint de plus en plus petit. Le Petit le regarda s'Ă©loigner Quand vous rencontrerez le Grand, mon frĂšre, qui est mort par lĂ , dites-lui que je suis revenu sur l'Ăźle oĂč nous sommes nĂ©s, lui et moi. Dites-lui que je suis revenu et que je vous ai envoyĂ©s vers lui, pour qu'il vous dise ceci "Ne fais rien de ce qui amĂšne les larmes dans les yeux des gens et la colĂšre dans leur cĆur !" »AprĂšs, il retourna au village.
Cela va vous aider Ă tenir le cap dans votre quotidien au travail. Il faut bien lâavouer le quotidien pour monter sa boite et la dĂ©velopper nâest pas tous les jours ROSE. Alors pour vous aider Ă affronter vents et marĂ©es, jâai dĂ©cidĂ© de vous proposer un recueil de citation motivation et citation business. Les meilleures citations business pour les entrepreneurs âSeuls ceux qui sont assez fous pour penser quâils peuvent changer le monde, y parviennentâ Steve Jobs. âAujourdâhui les gens savent le prix de tout mais ne connaissent la valeur de rienâ. Oscar Wilde âLes entrepreneurs Ă©chouent en moyenne 3,8 fois avant de rĂ©ussir. Ce qui diffĂ©rencie ceux qui rĂ©ussissent des autres, câest leur persĂ©vĂ©rance.â Lisa M. Amos âIl y a quelque chose de pire dans la vie que de nâavoir pas rĂ©ussi, câest de nâavoir pas essayĂ©.â Roosevelt âLâĂ©chec nous procure lâopportunitĂ© de recommencer plus intelligemmentâ. Henry Ford âUn pessimiste voit la difficultĂ© dans chaque opportunitĂ©, un optimiste voit lâopportunitĂ© dans chaque difficultĂ©â. Churchill âJe ne connais pas la clĂ© du succĂšs. Mais celle de lâĂ©chec, câest dâessayer de plaire Ă tout le monde.â Bill Cosby Parfois, on regarde si longtemps une porte se refermer, quâon arrive trop tard pour celle qui sâĂ©tait ouverte Ă cĂŽtĂ©. âLâĂ©chec, câest seulement une opportunitĂ© de dĂ©marrer Ă nouveau demain, de façon plus intelligente.â Henry Ford âNâallez pas oĂč va le chemin. Allez lĂ oĂč il nây en a pas encore, et ouvrez la route.â Ralph Waldo Emerson âAu lieu de vous demander oĂč vous pourriez passer vos prochaines vacances, peut-ĂȘtre que vous devriez dĂ©marrer une vie dans laquelle vous nâaurez pas besoin de vous Ă©chapper.â Seth Godin Si vous faites toujours ce que vous avez toujours fait, vous nâirez pas plus loin que jusque-lĂ oĂč vous ĂȘtes toujours allĂ©. âLes grandes choses ne sont pas faites par la force, mais par la persĂ©vĂ©rance.â Samuel Johnson âBeaucoup de ceux qui ont Ă©chouĂ© nâont pas rĂ©alisĂ© quâils Ă©taient aussi prĂšs du succĂšs quand ils ont abandonnĂ©.â Thomas Edison âSi on me donnait six heures pour abattre un arbre, je passerais la premiĂšre Ă affĂ»ter la hache.â Abraham Lincoln âIl nâest jamais trop tard pour devenir ce que vous auriez pu ĂȘtre.â George Eliot âLa plus grande gloire, ce nâest pas de ne jamais tomber. Câest de se relever Ă chaque fois quâon tombe.â Confucius âVivre câest se mettre en danger. De la mĂȘme façon quâapprendre Ă marcher câest dâabord accepter lâidĂ©e de tomberâ Bottero âLâignorant affirme, le savant doute, le sage rĂ©flĂ©chitâ Aristote âLes grands esprits discutent dâidĂ©es, les esprits moyens discutent dâĂ©vĂ©nements, les petits esprits discutent des gens.â Eleanor Roosevelt âA chaque fois que vous vous trouvez du cĂŽtĂ© de la majoritĂ©, il est temps de faire une pause et de rĂ©flĂ©chir.â Mark Twain âCelui qui suit la foule nâira pas plus loin que lĂ oĂč va la foule. Celui qui marche seul peut se retrouver dans des endroits oĂč personne nâa jamais Ă©tĂ©.â Albert Einstein âSi vous ne suivez pas votre rĂȘve, quelquâun dâautre va vous embaucher pour que vous lâaidiez Ă construire le sien.â Dhirubhai Ambani La rĂ©ussite dâune personne dans la vie se mesure en gĂ©nĂ©ral au nombre de conversations dĂ©licates ou dĂ©sagrĂ©ables quâelle est prĂȘte Ă voir .âLâhomme raisonnable sâadapte au monde ; Lâhomme dĂ©raisonnable sâobstine Ă essayer dâadapter le monde Ă lui-mĂȘme. Tout progrĂšs dĂ©pend donc de lâhomme dĂ©raisonnable.â George Bernard Shaw Les risques sont beaucoup moins effrayants une fois que vous les avez pris. âCeux qui survivent, ce ne sont pas les espĂšces les plus fortes, ni les plus intelligentes. Ce sont celles qui sont capables de changer.â Charles Darwin. Ce nâest pas parce que les choses sont difficiles que nous nâosons pas, câest parce que nous nâosons pas quâelles sont difficiles. » SĂ©nĂšque Ils ne savaient pas que câĂ©tait impossible, alors ils lâont fait. » Mark Twain Il nây a pas de vent favorable pour celui qui ne sait oĂč il va. » SĂ©nĂšque Si vous ĂȘtes capable de le rĂȘver, vous ĂȘtes capable de le faire. Lâaction sĂ©pare un rĂȘve dâun projet. » Walt Disney Faites que le rĂȘve dĂ©vore votre vieâŠafin que la vie ne dĂ©vore pas votre rĂȘve. » Antoine de Saint-ExupĂ©ry Vous nâavez pas besoin dâĂȘtre gĂ©nial pour commencer, mais vous devez commencer pour ĂȘtre gĂ©nial. » Zig Ziglar Si vous pensez que lâaventure est dangereuse, essayez la routine, câest Mortel »Paulo Coehlo Si vous ne suivez pas votre rĂȘve, quelquâun va vous embaucher pour que vous lâaidiez Ă rĂ©aliser le sien. Les meilleurs proverbes pour se motiver au travail âQuand je suis allĂ© Ă lâĂ©cole, ils mâont demandĂ© ce que je voulais ĂȘtre quand je serais grand. Jâai rĂ©pondu -heureux-. Ils mâont dit que je nâavais pas compris la question, jâai rĂ©pondu quâils nâavaient pas compris la vieâ. John Lennon âLe bonheur nâest pas une destination. Câest une mĂ©thode de vie.â Burton Hills âBeaucoup de gens reçoivent des conseils. Seuls les sages en profitent ?â Publilius Syrus Vous ne changerez jamais votre vie avant dâavoir changĂ© quelque chose que vous faites chaque jour. Le secret de votre succĂšs est dans votre programme quotidien. âRĂȘves comme si tu allais vivre pour toujours. Vis comme si tu allais mourir demain.â James Dean âNous sommes ce que nous faisons rĂ©guliĂšrement. Lâexcellence nâest pas un acte, câest une habitude.â Aristote âLa vie, câest Ă 10% ce qui nous arrive, et Ă 90% la façon dont on y rĂ©agit.â Chuck Swindoll âTout est difficile avant de devenir facile.â Thomas Fuller âRien nâest difficile si vous le divisez en petites tĂąches.â Henry Ford âNe jugez pas chaque journĂ©e par votre rĂ©colte, mais par les graines que vous avez plantĂ©es.â Robert Louis Stevenson La vie nâest pas une course. Prenez le temps de danser. Ecoutez la musique avant que la chanson ne sâachĂšve. Seuls ceux qui ne font rien ne commettent pas dâerreurs. Limiter les tĂąches Ă lâimportant pour rĂ©duire le temps de travail. RĂ©duire le temps de travail pour limiter les tĂąches. Apprendre une langue Ă©trangĂšre, câest acquĂ©rir un regard supplĂ©mentaire sur le monde. Vous inventez-vous des choses Ă faire pour Ă©viter lâimportant ? Ce nâest pas parce quâune tĂąche exige beaucoup de temps quâelle est importante. Ne jamais arriver au bureau ou devant son ordinateur sans une liste prĂ©cise de prioritĂ©s. Ătre dĂ©bordĂ© est souvent tout aussi stĂ©rile que de ne rien faire, et câest beaucoup plus dĂ©sagrĂ©able ! âLe manque de temps nâest rien dâautre quâun manque de prioritĂ©s !â Thimoty Ferris âJe dĂ©truis mes ennemis quand jâen fais des amis.â Abraham Lincoln En faisant scintiller notre lumiĂšre, nous offrons aux autres la possibilitĂ© dâen faire autant. » Nelson Mandela â Jâai le sentiment que toute ma vie dĂ©pend de cet instant prĂ©cis ; si je le rate⊠»â Moi je pense le contraire si on rate ce moment, on essaie celui dâaprĂšs, et si on Ă©choue on recommence lâinstant suivant, on a toute la vie pour rĂ©ussir. » Dialogue avec Boris Vian qui est lâauteur de la seconde phrase Nous sommes les auteurs de notre vie⊠âChaque petit pas tâamĂšne vers ton objectif. Garde confiance, garde espoir, protĂšge tes rĂȘves et continue dâavancerâŠâ Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faiteEt recevoir ces deux menteurs dâun mĂȘme front, Si tu peux conserver ton courage et la tĂȘteQuand tout les autres les perdront,Alors les rois les dieux de la chance et la victoireSeront Ă tout jamais tes esclaves soumis,Et, ce qui vaut bien mieux que les rois et la gloire,Tu seras un homme mon fils ! Rudyard Kipling Ta vie ne te plait pas⊠alors change LA⊠Il meurt lentement Celui qui devient esclave de lâhabituderefaisant tous les jours les mĂȘmes chemins,celui qui ne change jamais de repĂšre,Ne se risque jamais Ă changer la couleur de ses vĂȘtementsOu qui ne parle jamais Ă un inconnu Pablo Neruda âChoisissez un travail que vous aimez et vous nâaurez pas Ă travailler un seul jour de votre vie.â Confucius âNe travaillez pas plus dur travaillez plus intelligemment.â âLa fortune sourit aux audacieux !â Virgile Quelque soit oĂč on en est, ce quâon vit, TOUT est expĂ©rience engendrĂ©e par nos paroles, nos pensĂ©es, nos actions⊠Ce recueil est au tout dĂ©but de lâaventure ! A vous pour sâenrichir ! Alors postez-moi en commentaire votre prĂ©fĂ©rĂ© et puis dâautres que vous aimez bien ! Je les mettrai en image pour que chacun puisse les imprimer et les afficher dans son bureau ou ailleurs Ă©videmment.A vous de jouer ! Au fait vous avez vu aussi que ce site regorge de guides gratuits pour bien monter sa boite ? Profitez-en ! Ces articles pourraient aussi vous intĂ©resser RĂ©ussir votre congĂ© pour crĂ©ation dâentreprise de A Ă Z 3 bonnes raisons de ne pas abandonner son projet entrepreneurial Reconversion professionnelle 20 erreurs Ă Ă©viter de toute urgence ! Prise de dĂ©cision 7 questions pour vĂ©rifier que vous prenez la bonne dĂ©cision Sources Challenge des membres du club privĂ© de Macreationdentreprise Tableaux inspirationnels de Pinterest Veille dâAntonella VILAND, coach pour les entrepreneurs depuis 2005 La vĂ©ritĂ© sur ce qui nous motive ; Daniel PINK
Main dans les cheveux, lĂšvres mordillĂ©es, grattement de narines sans sâen rendre compte, nos gestes trahissent nos Ă©tats Ă©motionnels. Si ce langage corporel nâest pas une science Ă appliquer Ă chaque cas, il nous livre de prĂ©cieux indices qui peuvent se rĂ©vĂ©ler trĂšs utiles⊠La tĂȘte Lâinclinaison vous voulez mieux connaĂźtre lâĂ©tat Ă©motionnel de votre interlocuteur au cours dâune discussion ? Sâil penche la tĂȘte Ă droite, câest quâil fait appel Ă son pĂŽle rationnel. De lâautre cĂŽtĂ©, câest quâil est plus dans lâĂ©motionnel. Le juste niveau on dĂ©tend son cou ! Une tĂȘte haute et rigide envoie un message dâassurance extrĂȘme -voire de mĂ©pris- tandis quâune tĂȘte basse traduit la dĂ©faite ou la culpabilitĂ©. La coiffure les cheveux coincĂ©s derriĂšres les oreilles montrent que vous voulez avoir la vue dĂ©gagĂ©e pour saisir chaque opportunitĂ©. Une queue de cheval haute met votre buste en valeur et envoie donc un message dâassurance et/ou de sĂ©duction. Le visage Les sourcils relevĂ©s vers le haut, ils montrent votre Ă©tonnement. FroncĂ©s, ils indiquent la mĂ©fiance â on les baisse comme pour protĂ©ger nos globes. Les pupilles lâhomme que vous convoitez a les pupilles dilatĂ©es lorsquâil vous parle ? Alors foncez sâil semble perdu dans vos yeux, câest que vous lui plaisez. En revanche, quelquâun qui a les pupilles trĂšs rĂ©tractĂ©es ressent des Ă©motions nĂ©gatives. Ăa peut ĂȘtre de la peur, comme de la colĂšre, du mĂ©pris, un manque dâintĂ©rĂȘt,⊠Le nez si votre interlocuteur se gratte lâaile droite en vous Ă©coutant, câest quâil ne comprend pas oĂč vous voulez en venir. Sâil se pince le nez, câest quâil estime que ce que vous dĂźtes sent mauvais ». Il dĂ©sapprouve donc vos propos. Enfin, si il appuie un doigt sur le bout de son nez, câest quâil essaie dâĂ©craser son flair et de ne pas se fier Ă son instinct. La bouche on arrĂȘte de se mordiller les lĂšvres en parlant Ă son patron ! Cette habitude montre que vous ĂȘtes mal Ă lâaise. Si vous vous mordillez celle du dessus, vous ĂȘtes surmenĂ©e. Si câest celle du dessous, vous avez peur que la situation ne vous Ă©chappe. Pas de bouche en cul-de-poule non plus mĂ©pris ou de de tapotements compulsifs des lĂšvres du bout des doigts individualisme. Le faux sourire trĂšs facile Ă reconnaĂźtre, il sâefface trĂšs rapidement tandis quâun sourire franc met plus de temps Ă redescendre. Bon Ă savoir quand on veut faire semblant de se rĂ©jouir pour une collĂšgue qui nous Ă©nerve⊠mouhaha Le buste Le buste position assise penchĂ© vers lâavant, lors dâun entretien dâembauche par exemple, il enverra Ă votre interlocuteur un signe dâintĂ©rĂȘt et de courage. On Ă©vite ainsi de se pencher vers lâarriĂšre dĂ©sintĂ©rĂȘt et/ou nonchalance, de se replier sur soi fatigue ou grande timiditĂ©. Le buste position debout Ă la machine Ă cafĂ©, Ă©vitez de bomber le torse ça vous donnera lâair arrogante ou de vous replier sur vous. Tenez-vous droite. En plus, câest bon pour le dos ! Les bras Les bras croisĂ©s signe de fermeture, on adopte souvent cette position lorsquâon est mal Ă lâaise ou contrariĂ©es. Si on veut montrer quâon est des reines, on les dĂ©croise, on laisse nos bras droits ou on pose nos mains sur les hanches. Le sens du croisement a son importance bras gauche au-dessus, vous montrez que vous ĂȘtes quelquâun de rationnel, observatrice et rĂ©flĂ©chie, tandis que le bras droit au-dessus souligne votre impulsivitĂ© et votre esprit fonceur ». A adapter selon les situations⊠Les mains Les mains de lâorateur voici quelques attitudes dĂ©cryptĂ©es qui vont vous faire regarder les discours des hommes politiques dâun autre Ćil. Les mains orientĂ©es vers soi signe dâĂ©gocentrisme ou de manque dâhonnĂȘtetĂ© puisque la personne a besoin dâen rajouter des caisses. Les mains orientĂ©e vers lâextĂ©rieur lâorateur cherche Ă sĂ©duire lâassistance en lui donnant lâimpression dâĂȘtre trĂšs concernĂ©e. Les index et majeurs levĂ©s et joints devant les lĂšvres on affĂ»te ses arguments. Les index seulement joints devant les lĂšvres on est Ă court dâargumentsâŠou sĂ©duit. Les mains en appui sur une table ou sur les genoux la personne est mal Ă lâaise. Les poings fermĂ©s en appui sur une table signe dâhostilitĂ©. Les mains Ă plat sur la table signe dâĂ©coute et de comprĂ©hension. Les mains croisĂ©es le pouce droit est au-dessus ? Vous ĂȘtes rationnelle. Sinon, vous marchez plus aux Ă©motions et Ă lâinstinct. Serrer la main avant un entretien, vous devez la serrer juste ce quâil faut. Trop serrĂ©e, elle montre que vous ĂȘtes prĂȘte Ă Ă©craser les autres. Trop molle, que vous manquez dâĂ©nergie et dâambition. Il y a aussi la main fondante, qui se ramollit une fois que lâautre la serre câest la main du sĂ©ducteur -trice. Les mains fuyardes lors dâun entretien, on Ă©vite de croiser les mains entre les jambes signe de manque de confiance en soi et de jouer avec un objet nervositĂ©. Les doigts interrogatifs votre patron met son index sur sa tempe en vous parlant ou le pose sur le bout de son nez en vous Ă©coutant? Alors mettez les bouchĂ©es doubles car câest quâil sâennuie ou quâil est dubitatif. La main sous le menton coudes posĂ©s sur la table, votre interlocuteur vous regarde, le menton posĂ© entre ses deux mains ouvertes sur ses joues ? Cette personne vous veut du bien. En revanche, si son menton repose sur sa seule main gauche, elle ne pense quâĂ elle. Les mains sur les hanches une personne qui adopte cette position est ouverte » Ă son interlocuteur. Si elle bombe le torse, elle est en compĂ©tition avec lui et veut afficher sa supĂ©rioritĂ©. Sinon, elle se sent juste Ă lâaise avec la personne -et tente peut-ĂȘtre de la sĂ©duire⊠Le tĂ©lĂ©phone vous le tenez de la main gauche ? Vous ĂȘtes plutĂŽt introvertie. Sinon, vous ĂȘtes plus extravertie et sociable. La main dans les cheveux Le doigt qui joue avec la mĂšche traduit soit lâennui, soit le doute, soit la sĂ©duction. Se recoiffer sans arrĂȘt tendance Ă lâimpatience et Ă la susceptibilitĂ©. Se lisser constamment les cheveux du bout des doigts votre interlocuteur a des choses Ă se reprocher. La place de la main pendant la bise une main posĂ©e sur lâĂ©paule gauche pendant la bise tĂ©moigne de lâaffection envers la personne. Sur lâĂ©paule droite, elle montre votre ambition et votre caractĂšre intĂ©ressĂ©. Les jambes Les jambes croisĂ©es position assise cette position envoie un signal de malaise, surtout si vous ĂȘtes droitiĂšre et que câest la jambe droite qui est au-dessus et inversement pour les gauchĂšres. Les jambes croisĂ©es ou âpire- entortillĂ©es sont un signe dâautoprotection, tout comme les jambes repliĂ©es sous la chaise qui montrent votre timiditĂ©. Alors, pour prouver quâon a confiance en soi, on les dĂ©croise et on pose nos pieds bien Ă plat sur le sol. Les jambes hyperactives position debout plutĂŽt que de croiser les jambes signe de timiditĂ© ou de taper du pied signe dâexaspĂ©ration, on pose nos pieds Ă plat et on se tient droite. Les pieds Lâorientation si les pointes des pieds de vos collĂšgues ne nâouvrent pas quand vous vous approchez dâeux, câest quâils ne veulent pas que vous vous joignez Ă la conversation. En revanche, si lâun dâeux oriente ses pieds vers vous, câest quâil vous invite Ă les rejoindre. Les pieds qui se balancent la personne sâennuie ou se sent mal Ă lâaise. Quoiquâil en soit, elle nâa quâune idĂ©e en tĂȘte dĂ©guerpir. Pour aller plus loin Ces gestes qui vous trahissent, Joseph Messinger, First 2013 DĂ©coder la gestuelle de votre interlocuteur, Martine Tardy, Ă©ditions Dangles 2011. A lire Ă©galement Les hommes dĂ©voilent les gestes anodins des femmes quâils trouvent trĂšs sexy Nouvelle relation quel est le geste efficace pour montrer son engagement ? 5 exercices pour avoir un regard vif
La grammaire âș vous ĂȘtes iciGrammaireLes diffĂ©rentes propositions subordonnĂ©esSommaire Introduction Les propositions subordonnĂ©es conjonctives DĂ©finition Fonctions Les propositions subordonnĂ©es complĂ©tives sujets Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es attributs Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es en apposition Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments dâobjet Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments dâagent Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments de lâadjectif Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es complĂ©ments du nom ou du pronom Formes et mots subordonnants Emploi du mode Les propositions subordonnĂ©es interrogatives indirectes DĂ©finition Fonction Les propositions subordonnĂ©es infinitives et participiales DĂ©finition Fonction IntroductionLe mot subordonnĂ© Ă©voque un Ă©tat de dĂ©pendance. De fait, les propositions subordonnĂ©es sont soumises Ă une autoritĂ©, celle de la proposition principale dont elles dĂ©pendent. Pour caractĂ©riser une proposition subordonnĂ©e, on emploiera, selon le cas, les mots relative, conjonctive, complĂ©tive, circonstancielle, interrogative indirecte, infinitive, participiale, parlerons dans cette page des propositions subordonnĂ©es complĂ©tives, relatives, interrogatives indirectes, infinitives et participiales.â NâhĂ©sitez pas Ă consulter aussi les subordonnĂ©es propositions subordonnĂ©es conjonctivesDĂ©finitionSont dites propositions subordonnĂ©es conjonctives les propositions subordonnĂ©es quâintroduisent une conjonction que, quand, puisque, comme ou une locution conjonctive de subordination alors que, parce que, pour que, bien que, si bien que, etc..FonctionsOn distingue les subordonnĂ©es conjonctives complĂ©tives, introduites par que, Ă ce que, de ce que, qui, le plus souvent, complĂštent un verbe et jouent le rĂŽle dâun complĂ©ment dâobjet direct, indirect ou second ; Exemple Chacun sait que chat Ă©chaudĂ© craint lâeau froide. les subordonnĂ©es conjonctives circonstancielles, introduites par les autres conjonctions ou locutions conjonctives, qui permettent dâĂ©tablir entre la principale et la subordonnĂ©e un rapport temporel expression du temps ou logique expression de la cause, de la consĂ©quence, du but, de lâopposition, de la condition, de la comparaison et jouent ainsi le rĂŽle dâun vĂ©ritable complĂ©ment circonstanciel. Exemple Quand le chat nâest pas lĂ , les souris dansent.â Ă lire Comment exprimer la circonstance dans la phrase simple et complexe ?Les propositions subordonnĂ©es complĂ©tives sujetsFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e sujet peut ĂȘtre Une proposition introduite par la conjonction que aprĂšs un verbe de forme impersonnelle. Exemple Il faut que jâaille. Une proposition introduite par que en tĂȘte de phrase. Exemple Que tu aies gagnĂ© ce concours me remplit de joie. Une proposition introduite par que aprĂšs certaines expressions comme dâoĂč vient?, de lĂ vient, quâimporte, peu importe⊠Exemple DâoĂč vient que nul nâest content de son sort ? Une proposition introduite par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui, quiconque. Exemple Qui veut la fin, veut les moyens.â Remarque â Il y a subordonnĂ©e sujet commençant parque, si, comme, quand⊠placĂ©e aprĂšs la principale mais annoncĂ©e en tĂȘte de la phrase par un des pronoms dĂ©monstratifs neutres ce, ceci, cela, ça. Exemple Câest Ă©tonnant comme elle a du modeLe verbe de la subordonnĂ©e se met â Ă lâindicatif aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la certitude ou la vraisemblance.â Remarque â AprĂšs le verbe sembler que avec les pronoms me, te, se, nous, vous, se, on met gĂ©nĂ©ralement lâindicatif. AprĂšs il semble que, on met lâindicatif ou le subjonctif selon que lâon exprime le fait avec plus ou moins de certitude. Exemple 1 Il me semblait que câĂ©tait la haine qui faisait parler Françoise. Exemple 2 Il semblait que les forces rĂ©volutionnaires dussent triompher. â au subjonctif â aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la nĂ©cessitĂ©, la possibilitĂ©, le doute, lâobligation ou un sentiment personnel. Exemple Il faut quâon soit sincĂšre. â aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la certitude ou la vraisemblance et exprimant un sens nĂ©gatif, interrogatif au conditionnel. Exemple Est-il sĂ»r que Michel ait commis une pareille erreur ? â quand la subordonnĂ©e introduite par que est placĂ©e en tĂȘte de la phrase. Exemple Que le printemps vienne.â au conditionnel aprĂšs les verbes de forme impersonnelle marquant la certitude ou la vraisemblance lorsquâon exprime un fait Ă©ventuel ou dĂ©pendant dâune condition. Il en est de mĂȘme dans la proposition sujet introduite soit par que aprĂšs dâoĂč vient ?, quâimporteâŠ, soit par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui ou quiconque. Exemple Il est Ă©vident que vous feriez ce travail.â Ă lâinfinitif le verbe de la subordonnĂ©e sujet est parfois Ă lâinfinitif accompagnĂ© par son sujet propre. Exemple Un citoyen trahir son pays, cela mĂ©rite un propositions subordonnĂ©es attributsFormes et mots subordonnantsâ La subordonnĂ©e attribut peut ĂȘtre introduite par la conjonction que et venant aprĂšs certaines locutions formĂ©es dâun sujet et du verbe ĂȘtre comme mon avis est, le malheur est, le mieux est, la preuve en est⊠Exemple Mon avis est que vous avez raison.â On a parfois une subordonnĂ©e attribut introduite par le pronom relatif indĂ©fini qui = celui que ou par le relatif quoi prĂ©cĂ©dĂ© par une prĂ©position. Exemple 1 Le coupable nâest pas qui vous croyez. Exemple 2 Câest prĂ©cisĂ©ment Ă quoi je pensais.â On peut considĂ©rer comme des subordonnĂ©es attributs certaines propositions relatives introduites par qui â aprĂšs les verbes ĂȘtre, se trouver, rester⊠suivis dâune indication de lieu ou de situation. â aprĂšs un verbe de perception exprimant une maniĂšre dâĂȘtre du sujet ou du de la principale. Exemple â Votre ami est lĂ qui attend attendant. â Il est aujardin qui rĂȘve rĂȘvant. â Je le vois qui arrive arrivant [ du modeLe verbe de la subordonnĂ©e attribut se met â Ă lâindicatif quand cette subordonnĂ©e exprime un fait rĂ©el ou considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Mon opinion est que tu as rempli tes obligations.â au subjonctif quand on exprime un fait envisagĂ© dans la pensĂ©e avec un sentiment personnel souhait, dĂ©sir, volontĂ©âŠ. Exemple Mon dĂ©sir est que tu remplisses tes obligations.â au conditionnel quand on exprime un fait Ă©ventuel ou dĂ©pendant dâune condition. Exemple Mon opinion est que tu remplirais ainsi tes propositions subordonnĂ©es en appositionFormes et mots subordonnantsâ La subordonnĂ©e en apposition est une proposition introduite par la conjonction que au sens de Ă savoir que et jointe Ă un nom ou Ă un pronom pour le dĂ©finir ou lâexpliquer comme le ferait un nom en apposition. Exemple La bĂȘtise Ă ceci de terrible quâelle peut ressembler Ă la plus profonde sagesse.â Dans qui mieux est , qui pis est , qui plus est , on a des subordonnĂ©es en apposition introduites par le pronom relatif au sens de ce qui ». Exemple Elle mâa bien accueilli et, qui plus est, elle mâa fĂ©licitĂ©.â Nous avons rangĂ© parmi les subordonnĂ©es sujets les propositions introduites par qui et reprises par ce, cela, la chose, le fait⊠Exemple Que vous ayez trouvĂ© la bonne solution, cela vous honore. De mĂȘme les propositions introduites par que, si, comme, quand, lorsque et annoncĂ©es par ce, ceci, cela, ça. Exemple Câest un bien que nous ignorions lâ du modeLe verbe de la subordonnĂ©e en apposition se met â Ă lâindicatif quand la subordonnĂ©e en apposition exprime un fait considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Le fait quâil reprend courage prĂ©sage sa guĂ©rison.â au subjonctif quand la subordonnĂ©e en apposition exprime un fait envisagĂ© simplement dans la pensĂ©e avec un sentiment personnel souhait, dĂ©sir, volontĂ©âŠ. Exemple Cette chose est tout Ă fait inadmissible que Biche doive mourir.â au conditionnel quand la subordonnĂ©e en apposition exprime un fait Ă©ventuel probable ou soumis Ă une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple Je reviens Ă ce principe que les hommes seraient meilleurs sâils se connaissaient mieux propositions subordonnĂ©es complĂ©ments dâobjetFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e ou peut se prĂ©senter sous quatre formes â Elle peut ĂȘtre introduite par la conjonction que. Exemple Vous savez que votre heure viendra.â Remarques â â La subordonnĂ©e peut ĂȘtre parfois introduite par une des locutions conjonctives Ă ce que, de ce que. Exemple Il sâattend Ă ce quâil viendra. â Voici et voilĂ peuvent se faire suivre dâune subordonnĂ©e introduite par que, cette subordonnĂ©e complĂ©ment du prĂ©sentatif est assimilable Ă une subordonnĂ©e Exemple Voici que la nuit vient.â La subordonnĂ©e ou peut ĂȘtre introduite par un mot interrogatif si, quand, qui⊠dans lâinterrogation indirecte. Exemple Dis-moi qui tu es.â La subordonnĂ©e ou peut ĂȘtre introduite par aucun mot subordonnant et ĂȘtre constituĂ©e par un infinitif avec un sujet propre. Une telle proposition sâappelle proposition infinitive, elle sâemploie comme complĂ©ment aprĂšs des verbes marquant une perception des sens apercevoir, voir, regarder, entendre, ouĂŻr, sentir, toucher, ou encore aprĂšs faire ou laisser. Exemple Jâentends les oiseaux chanter.â Remarques â â On nâa de proposition infinitive que si lâinfinitif a son sujet propre exprimĂ© ou non. Exemple Jâentends parler autour de moi. On peut avoir une proposition infinitive aprĂšs le prĂ©sentatif voici et surtout avec lâinfinitif venir. Exemple Voici venir les enfants. â Une proposition infinitive peut dĂ©pendre dâun des verbes dire, croire, savoir⊠mais Ă peu prĂšs uniquement avec le pronom relatif que sujet. Exemple Je ramenais la conversation sur des sujets que je savais lâintĂ©resser.â La subordonnĂ©e ou peut ĂȘtre introduite par un pronom relatif indĂ©fini qui, quiconque. Exemple Mari qui vous du modeLe verbe de la proposition subordonnĂ©e ou se met â Ă lâindicatif aprĂšs un verbe exprimant une opinion, une dĂ©claration, une perception quand le fait est considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Je mâaperçois que jâai fait une erreur.â au subjonctif aprĂšs un verbe principal exprimant une opinion, une perception quand le fait est envisagĂ© simplement dans la pensĂ©e, ce qui se prĂ©sente souvent lorsque ces verbes sont dans la principale nĂ©gatifs, interrogatifs, conditionnels. Exemple Je ne crois que la richesse fasse le bonheur. Cependant, mĂȘme quand la principale est nĂ©gative ou interrogative, les verbes dâopinion ou de dĂ©claration demandent dans la subordonnĂ©e lâindicatif si lâon veut marquer la rĂ©alitĂ© du fait. Exemple Elle ne croit pas que la santĂ© vaut plus que tout.â aprĂšs un verbe principal exprimant la pensĂ©e, le doute, le sentiment⊠Exemple Je veux quâon dise la vĂ©ritĂ©.â quand cette subordonnĂ©e ou est mise en tĂȘte de la phrase et dĂ©pendant de la principale. Exemple Que mon ordre doive ĂȘtre exĂ©cutĂ©, vous le propositions subordonnĂ©es complĂ©ments dâagentFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e complĂ©ment dâagent du verbe passif est introduite par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui, quiconque. Lâun et lâautre prĂ©cĂ©dĂ© dâune des prĂ©positions par ou de. Exemple Cette maison sera habitĂ©e par qui la du modeLe verbe de la subordonnĂ©e complĂ©ment dâagent se met â Ă lâindicatif si le fait est considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Elle est aimĂ©e de quiconque la connaĂźt.â au subjonctif si le fait est envisagĂ© dans la pensĂ©e avec un certain sentiment personnel. Exemple Ils souhaitaient ĂȘtre louĂ©s par quiconque leur parlĂąt.â au conditionnel si le fait est Ă©ventuel ou soumis Ă une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple Le vol nâa pas Ă©tĂ© commis par qui on propositions subordonnĂ©es complĂ©ments de lâadjectifFormes et mots subordonnantsLa subordonnĂ©e complĂ©ment de lâadjectif se joint Ă certains adjectifs exprimant en gĂ©nĂ©ral une opinion ou un sentiment tel que heureux, digne, sĂ»r, certain, etc. Elle est introduite par que, parfois par de ce que ou Ă ce que ou par un des pronoms relatifs indĂ©finis qui, quiconque prĂ©cĂ©dĂ© par une prĂ©position. Exemple Ce mode dâemploi est utile seulement pour qui nây connaĂźt rien.â Remarque â Parmi les subordonnĂ©es complĂ©ments de lâadjectif, il y a les subordonnĂ©es complĂ©ments du comparatif. Exemple Mon ami, aussi calme que je suis vif, me conseille la du modeLe verbe de la subordonnĂ©e complĂ©ment de lâadjectif se met â Ă lâindicatif quand elle exprime un fait considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Trop certain quâil peut compter sur mon aide, il sâengage Ă la lĂ©gĂšre.â au subjonctif quand elle exprime un fait envisagĂ© dans la pensĂ©e. Exemple Heureux quâon lui fasse tant dâhonneur, il se confond en remerciements.â au conditionnel avec un fait Ă©ventuel ou soumis Ă une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple Mes parents, sĂ»rs que je rĂ©ussirais Ă mes examens, si ma santĂ© Ă©tait bonne.â Remarques â â Quand lâadjectif est construit avec ĂȘtre, le mode de la subordonnĂ©e complĂ©ment de cet adjectif dĂ©pend de la forme de la principale ou de la nuance Ă exprimer. Ainsi aprĂšs une principale nĂ©gative ou interrogative, on a dâordinaire le subjonctif mais lâindicatif est aussi possible. Exemple Je ne suis pas certaine quâil vienne / quâil viendra. â Certains adjectifs exprimant un sentiment admettent pour la construction de la subordonnĂ©e quâils complĂštent, non seulement que, avec le subjonctif, mais parfois aussi de ce que, ordinairement avec lâindicatif. Exemple Heureux quâon lui fasse / fait dâhonneur, il se confond en propositions subordonnĂ©es complĂ©ments du nom ou du pronomFormes et mots subordonnantsâ La subordonnĂ©e complĂ©ment du nom ou du pronom se joint au nom ou au pronom pour en prĂ©ciser le sens comme pourrait le faire un nom ou un adjectif. Elle est introduite par un pronom relatif, câest donc une subordonnĂ©e relative.â De point de vue du sens, la subordonnĂ©e relative complĂ©ment du nom ou du pronom est â complĂ©ment dĂ©terminatif quand elle restreint la signification de lâantĂ©cĂ©dent. Ce qui fait que lâon ne peut pas la retrancher sans nuire au sens de la phrase. Exemple Les plantes qui ne sont pas arrosĂ©es rĂ©guliĂšrement dĂ©pĂ©rissent trĂšs vite. â complĂ©ment explicatif quand elle ajoute Ă lâantĂ©cĂ©dent une explication accessoire ce qui fait quâon peut la retrancher sans nuire au sens de la phrase. Elle est gĂ©nĂ©ralement mise entre deux virgules. Exemple Notre projet de barrage, qui a connu une forte concurrence, vient dâĂȘtre sĂ©lectionnĂ©.â Remarques â â La subordonnĂ©e introduite par la conjonction que et prĂ©cisant un nom est une subordonnĂ©e complĂ©ment dĂ©terminatif du nom. Exemple Lâespoir quâelle guĂ©rira me soutient. â On a dĂ©jĂ signalĂ© que certaines propositions comme dans les phrases votre ami est lĂ qui attend⊠peuvent ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme des subordonnĂ©es attributs. â Souvent la subordonnĂ©e relative tout en prĂ©cisant un nom ou un pronom joue le rĂŽle dâun complĂ©ment circonstanciel et exprime une idĂ©e de but, de cause⊠Exemple Je cherche un mĂ©decin qui puisse le guĂ©rir sens de but.Emploi du modeLe verbe de la proposition subordonnĂ©e relative se met â Ă lâindicatif si elle exprime un fait considĂ©rĂ© dans sa rĂ©alitĂ©. Exemple Jâai choisi un conseiller que la raison conduit.â au subjonctif si le fait est considĂ©rĂ© dans la pensĂ©e avec un sentiment personnel. Exemple Je voudrais inventer une machine qui me fasse voyager dans le temps.â Remarques â â Cette derniĂšre rĂšgle nâest pas absolue, on met lâindicatif quand la subordonnĂ©e relative exprime un fait dont on veut marquer la rĂ©alitĂ©. Exemple Les mauvais succĂšs sont les seuls maĂźtres qui peuvent nous reprendre utilement Bossuet. â AprĂšs une principale nĂ©gative, interrogative ou conditionnelle, si la subordonnĂ©e relative exprime un fait considĂ©rĂ© dans la pensĂ©e et avec un certain sentiment, elle a son verbe au subjonctif. Exemple Il nây a pas dâhomme qui soit immortel. Mais on met lâindicatif si la relative exprime un fait dont on veut marquer la rĂ©alitĂ©. Exemple Je ne crains pas ce chien qui nous poursuit.â au conditionnel quand la subordonnĂ©e exprime un fait Ă©ventuel ou soumis Ă une condition Ă©noncĂ©e ou non. Exemple Lâhomme qui connaĂźtrait lâavenir serait-il heureux ?â Ă lâinfinitif sans sujet exprimĂ©. Exemple Il cherchait une main Ă quoi sâ propositions subordonnĂ©es interrogatives indirectesDĂ©finitionâ Sont dites propositions subordonnĂ©es interrogatives indirectes les propositions subordonnĂ©es quâintroduit un mot interrogatif. Exemple Je me demande sâil nây a pas quelque anguille sous roche.â Le mot interrogatif peut ĂȘtre â lâadverbe si dans le cas dâune interrogation totale ; â un pronom qui, ce qui, ce que, quoi, lequel, un dĂ©terminant quel ou un adverbe interrogatif oĂč, quand, comment, combien, pourquoi, dans le cas dâune interrogation partielle.â Remarques â Il est toujours possible de transformer une subordonnĂ©e interrogative indirecte en interrogation directe. Ainsi la proposition de lâexemple devient lâinterrogation totale Y a-t-il anguille sous roche ?FonctionUne proposition subordonnĂ©e indirecte est toujours complĂ©ment dâobjet direct du verbe de sens interrogatif demander, se demander, ignorer, savoir, etc. utilisĂ© dans la proposition principale. Ainsi, dans lâexemple, la proposition sâil nây a pas anguille sous roche est COD du verbe me propositions subordonnĂ©es infinitives et participialesDĂ©finitionLes propositions subordonnĂ©es infinitives et participiales ont ceci de particulier quâaucun mot subordonnant ne les introduit. On les reconnaĂźt au fait quâelles contiennent un verbe Ă lâinfinitif ou au participe prĂ©sent ou passĂ© ayant un sujet propre, donc diffĂ©rent du sujet du verbe dont ces subordonnĂ©es dĂ©pendent. Exemple 1 La faim fait sortir le loup du bois câest une proposition infinitive. Exemple 2 Delphine et Marinette ayant invitĂ© le loup chez elles, celui-ci leur proposa de jouer avec lui câest une proposition participiale.FonctionUne proposition subordonnĂ©e infinitive dĂ©pend dâun verbe de perception voir, entendre, sentir, Ă©couter, etc. ou des verbes laisser et faire ; elle est toujours complĂ©ment dâobjet proposition subordonnĂ©e participiale est toujours complĂ©ment circonstanciel. Ainsi, dans lâexemple prĂ©cĂ©dent, la proposition Delphine et Marinette ayant invitĂ© le loup chez elles est complĂ©ment circonstanciel de connexes Liste des leçons de grammaire. Autres leçons de grammaire La nature et la fonction. â Le groupe nominal. â Les mots invariables. â Les fonctions dans la phrase simple. â Les complĂ©ments circonstanciels. â Les propositions subordonnĂ©es. Savez-vous employer correctement les interjections ? Savez-vous former correctement les adverbes ? Autres rubriques Ă consulter Conjugaison. â Vocabulaire. â Orthographe. â de livresRecherche sur le site
dod10 dod10 January 2021 1 47 Report Est-ce-que vous pouvez me dire 5 phrases en anglais qui raconte ce que vous faisiez quand vous etez petit mais plus maintenant merci d'avance. Please enter comments Please enter your name. Please enter the correct email address. Agree to terms and service You must agree before submitting. Lista de comentĂĄrios CobraLemming7 1. I don't drink milk from a bottle I don't suck on a dummy I don't eat my hands/ fingers I don't get carried I don't walk on 4s 0 votes Thanks 0 dod10 merci CobraLemming7 derien More Questions From This User See All dod10 February 2021 0 Respostas Est-ce-que vous pouvez me donner en lettres les chiffres de 0 a 20 en espagnol Responda dod10 February 2021 0 Respostas Est-ce-que vous pouvez me conjuguer a toutes les personnes du singulier et du pluriel hablar beber salir Responda dod10 February 2021 0 Respostas Responda dod10 February 2021 0 Respostas Responda dod10 January 2021 0 Respostas Comment dis-t-on en espagnol rose / renard / chien Responda dod10 January 2021 0 Respostas est-ce que vous pouvez me dire des verbes de gouts en anglais Responda dod10 January 2021 0 Respostas Comment on convertit les heures 2h48min Responda dod10 January 2021 0 Respostas Comment on convertit des heures? 3h45min Responda dod10 January 2021 0 Respostas Est-ce-que vous pouvez me dire 5 personnes qui parlent anglaises et qui sont morts Responda Dod10 April 2019 0 Respostas Responda
ce que vous faites au plus petit