Unautoportrait emblématique de l’artiste mexicaine Frida Kahlo, à ce jour le tableau latino-américain le plus cher de l’histoire, est exposé pour la première fois depuis un quart de siècle dans un musée de Buenos Aires (Argentine) dont le fondateur l’a acquis. « Diego y yo » (Diego et moi), réalisé par Frida Kahlo 1949, avait été acquis en novembre pour 34,9 millions
Iletait une fois dans l'ouest, un film de Sergio Leone avec Charles Bronson et Claudia CardinaleHenry Fonda. Synopsis : Responsable du chemin de fer, Morton doit s'approprier un point d'eau afin de ravitailler ses locomotives sur une nouvelle ligne. Pour cela, il fait assassiner le proprietaire par
Ilétait une fois dans l'Ouest C'era una volta il West. Sergio Leone. Italie / 1968 / 170 min . D'après une histoire originale de Bernardo Bertolucci, Dario Argento et Sergio Leone. Avec Henry Fonda, Claudia Cardinale, Charles Bronson, Jason Robards. En pleine révolution industrielle, le chemin de fer se développe dans le Grand Ouest. Sur un quai de gare désert, trois hommes
HenryFonda plays the blackest character of his long career, and he's utterly convincing as Frank, the ruthless murderous psychopath who suffers no conscience pangs after annihilating an entire
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ILETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST: Résumé : Trois hors-la-loi attaquent un mystérieux inconnu, surnommé «Hombre», dans une gare perdue de l'Ouest américain. Mais l'homme réussit à les éliminer. Il se met ensuite à jouer un air lancinant sur son harmonica. Pendant ce temps, le fermier McBain prépare une grande fête en l'honneur de Jill, la ravissante fille de
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Il était une fois dans l’Ouest – Sergio Leone Il était une fois dans l’Ouest se dévoilait dans les salles obscures italiennes il y a cinquante ans. Mémoires du Cinéma’ retrace l’histoire de la conception de ce classique et chef-d’œuvre du cinéma signé Sergio Leone via les notes de production, la presse de l’époque, le regard de quelques grands réalisateurs, et plus encore… Il était une fois dans l’Ouest – affiche française Après les succès commerciaux de Pour une poignée de dollars suivi de Et pour quelques dollars, Sergio Leone tourne Le Bon, la Brute et le Truand, un troisième western et le dernier volet de ce qui va devenir la trilogie du dollar ». Trois films qui vont lancer la carrière de Clint Eastwood et donner une stature internationale à son réalisateur. Pourtant, ce dernier souhaite passer à autre chose. Il envisage d’adapter à l’écran The Hoods, le roman d’Harry Grey, dans lequel l’écrivain raconte son passé de gangster pendant la Prohibition. Compte tenu de sa notoriété, il espère convaincre les studios hollywoodiens… Un western pour une poignée de dollars Au début des années 1960, Sergio Leone a déjà acquis une solide expérience en tant qu’assistant-réalisateur. Il a ainsi travaillé sous la direction de Vittorio De Sica, Carmine Gallone, Mario Camerini, Mario Bonnard, mais aussi Robert Wise, William Wyler, Fred Zinnemann ou Robert Aldrich, bien qu’il se soit querellé avec le cinéaste lors du tournage de Sodome et Gomorrhe 1962. Malgré son péplum, genre à la mode à l’époque, Le Colosse de Rhodes, le premier film qu’il réalise en solo, Leone est au creux de la vague, comme beaucoup de réalisateurs italiens. Avec Pour une poignée de dollars et un budget dérisoire 200 000$, il s’attaque, sous le pseudonyme de Bob Robertson allusion au pseudonyme de son père Roberto Roberti, à un remake de Yojimbo, d’Akira Kurosawa, qu’il transpose dans le monde du western. L’initiative de tourner des westerns en Europe n’est pas nouvelle. Les Espagnols exploitent déjà le filon et les Allemands, avec la série des Winnetou, une adaptation des romans de Karl May, ont trouvé en Croatie leur nouveau Far West. Sergio Leone aurait souhaité une vedette hollywoodienne pour interpréter le rôle principal. Les noms de Charles Bronson, Henry Fonda et James Coburn ont été avancés. Pour des raisons budgétaires ou autres l’agent d’Henry Fonda ne lui aurait pas remis le script, la production renonce. Elle songe alors à Richard Harrison, un acteur américain de série B installé en Italie. L’accord ne se fait pas, mais celui-ci recommande cependant un certain Clint Eastwood, qui a entre autres l’avantage de monter à cheval. Il était une fois dans l’Ouest – Copyright Paramount Il était une fois l’Amérique… Peu optimiste sur le potentiel commercial de Pour une poignée de dollars, le distributeur opte pour une diffusion limitée en Italie, en septembre 1964. Le bouche à oreille va faire son effet et le film remporter un succès public inattendu, la critique étant partagée. Pour des problèmes de droits, il ne sortira aux États-Unis que dix-huit mois plus tard. Entre temps, Sergio Leone réalise Et pour quelques dollars de plus, puis Le Bon, la Brute et le Truand. Cette trilogie du dollar » ou de l’Homme sans nom » va donner ses lettres de noblesse au western spaghetti », lancer la carrière de Clint Eastwood et donner à son réalisateur une stature internationale. Cependant, Leone entend passer à autre chose. L’idée a germé dans son esprit pendant le tournage du Bon, la Brute et le Truand. Il veut adapter à l’écran The Hoods roman d’Harry Grey, le pseudonyme de Herschel Goldberg, dans lequel l’écrivain raconte son passé de gangster pendant la Prohibition… Il pense que sa notoriété va lui faciliter la tâche. Il aurait ainsi rencontré Warren Beatty, acteur et aussi producteur, alors dans une mauvaise passe, mais qui ne donne pas suite. Néanmoins, quelques mois plus tard, celui-ci interprétera et coproduira Bonnie and Clyde sous la direction d’Arthur Penn. Partenaire sur la Trilogie », United Artists refuse de se lancer dans l’aventure, tout comme Paramount. Le projet serait trop coûteux et peu rentable. Sergio Leone renonce à ce qui deviendra plus tard Il Etait une fois en Amérique mais finit par accepter les moyens que Paramount met à sa disposition pour réaliser un nouveau western… à la condition de garder le contrôle sur le film. Ce qu’il obtient. Développement de l’histoire Peu avant Noël 1966, dans une salle de cinéma qui vient de projeter Le Bon, la Brute et le Truand, Sergio Leone rencontre Bernardo Bertolucci et lui demande ce qu’il pense du film. Bertolucci a aimé et s’en explique. À la fin de la conversation, Leone lui propose de travailler sur le scénario de son nouveau film. Comme Bertolucci n’a rien en chantier depuis Prima della rivoluzione 1964, il accepte l’offre. Dario Argento, qui n’est encore que critique de cinéma, rejoint l’équipe. Entre janvier et mars 1967, ils revoient plusieurs westerns… américains. En février 1982, lors d’un entretien avec Christopher Frayling, l’un de ses biographes, Sergio Leone déclarera … l’idée de départ était d’utiliser certaines conventions du western américain, ainsi que toute une série de références à des westerns spécifiques pour raconter ma version de la naissance d’une nation. » et de poursuivre, … je voulais faire un film qui serait … un ballet des morts. Je voulais prendre les personnages les plus stéréotypés du western américain … pour rendre hommage au western et montrer les changements en cours à l’époque dans la société américaine. » Argento et Bertolucci élaborent une histoire. Leone confie ensuite ce premier jet, qui représente 80 pages, à Sergio Donati, script doctor » sur Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la Brute et le Truand, et scénariste sur trois westerns de Sergio Sollima, afin qu’il planche sur le scénario définitif, et donne un sens à l’histoire et de la substance »… Il était une fois dans l’Ouest – Copyright Paramount Le scénario Sur le quai d’une gare, dans les environs de Flagstone, une ville de l’Ouest américain, trois hommes vêtus de cache-poussière attendent un voyageur pour l’abattre. Mais ce mystérieux joueur d’harmonica, sans nom, est plus rapide et les tue. L’inconnu est à la recherche de Frank, un dangereux tueur à gages, pour se venger. Pour l’heure, Frank s’est mis au service de Morton, le patron d’une compagnie de chemin de fer dont le chantier progresse vers la côte Pacifique. Il est chargé d’intimider Brett McBain, le propriétaire d’un immense terrain pourtant désertique, Sweewater ». Expéditif, avec ses hommes il exécute froidement McBain et ses trois enfants. C’est par la voie ferroviaire que Jill arrive à Flagstone. Ancienne prostituée, elle a épousé en secret McBain à La Nouvelle-Orléans. Elle découvre la famille assassinée. Héritière de la propriété, elle décide de rester avant de se raviser. Harmonica », aidé de Cheyenne » un bandit en cavale, tentent de l’en dissuader et l’empêcher de vendre le domaine pour une bouchée de pain… Sergio Donati juge déterminante la contribution de Bertolucci à l’histoire. Son scénario demeure fidèle aux citations cinématographiques suggérées par le futur réalisateur de 1900, et développe également les personnages de Cheyenne » et de Morton. Cette mosaïque de grands moments de l’histoire du western fait notamment référence à Johnny Guitare Nicholas Ray, Le train sifflera trois fois Fred Zinemann ou L’homme des Vallées perdues George Stevens, La Prisonnière du désert John Ford, Le cheval de fer John Ford ou encore L’Homme qui tua Liberty Valance John Ford. Il était une fois dans l’Ouest – Henry Fonda, Claudia Cardinale, Sergio Leone, Charles Bronson et Jason Robards – Copyright Paramount Le casting Jusqu’à présent, les femmes n’avaient joué qu’un rôle secondaire dans les films de Sergio Leone. Pour le cinéaste, … c’est parce que mes personnages n’ont pas le temps de tomber amoureux ou de courtiser quelqu’un. Ils sont trop occupés à essayer de survivre ou à poursuivre leur objectif ». Pourtant, cette fois, exceptionnellement, il s’est laissé convaincre par Bertolucci. Comme le budget n’est pas un obstacle estimé entre 3 et 5 millions de $, Sergio Leone peut envisager un casting haut de gamme ». Un temps, Carlo Ponti a été intéressé pour produire le film, aussi, le nom de Sophia Loren, son épouse, a été avancé pour être Jill McBain, mais le réalisateur lui préfère Claudia Cardinale. Il aimerait pouvoir compter à nouveau sur Clint Eastwood. Mais ce dernier dit non. On parle aussi de Rock Hudson et de Warren Beatty, cependant, il a d’autres acteurs en vue. Il revient à la charge pour deux comédiens qu’il avait espéré engager précédemment. Si Charles Bronson accepte de jouer Harmonica », Henry Fonda refuse. Leone se rend aux États-Unis pour tenter de le convaincre. Le comédien finit par demander l’avis d’Eli Wallach qui l’encourage à saisir l’occasion. Kirk Douglas était intéressé par se glisser dans la peau de Cheyenne », mais c’est Jason Robards qui est retenu. En guise de clin d’œil au Bon, la Brute et le Truand, le cinéaste a songé à réunir de nouveau Clint Eastwood, Eli Wallach et Lee Van Cleef dans la scène d’ouverture. Devant le refus d’Eastwood, le réalisateur renonce à cette idée. Ce sont donc Jack Elam le dur d’une trentaine de westerns, Woodie Strode trois westerns sous la direction de John Ford et Al Mullock déjà au générique du Bon, la Brute… qui devinrent les trois tueurs. Charles Bronson et Henry Fonda – Il était une fois dans l’Ouest – Copyright Paramount Le tournage, la production Tandis que le scénario commence à prendre forme, Sergio Leone part en repérages aux États-Unis. Il se rend dans le désert du Colorado, d’Arizona et du Nouveau-Mexique. Un moment particulier de ce séjour avec la visite guidée du site de Monument Valley », haut lieu du cinéma de John Ford, en compagnie du chef opérateur Tonino Delli Colli et du responsable des décors Carlo Simi. Le réalisateur n’en délaisse pas pour autant les studios de Cinecittà à Rome, pour une bonne partie des intérieurs, et bien sûr le sud de l’Espagne, berceau de westerns méditerranéens et cadre de sa trilogie. C’est à La Calahorra, non loin de Guadix, province de Grenade, que sera filmée la séquence d’ouverture et construite la ville de Flagstone ». Quant à Sweetwater », la propriété des McBain, elle trouvera place près de Tabernas, dans la province d’Almeria. Ainsi, la carriole conduite par Sam Paolo Stoppa et qui transporte Jill depuis la gare aura effectué l’une des plus longues randonnées de l’histoire du cinéma. De l’Espagne, elle est passée par Monument Valley avant de regagner l’Andalousie pour arriver à la ferme des McBain. À l’approche du tournage, la production frôle la catastrophe. Henry Fonda a cru bon de porter des lentilles de contact pour changer la couleur de ses yeux bleus, ainsi qu’une moustache. Agacé, Sergio Leone lui a fait tout enlever. Quant à Jason Robards, c’est ivre qu’il se présente au réalisateur, risquant d’être mis à la porte sur le champ. Par chance, il n’y eut rien à lui reprocher par la suite. Les premières images sont tournées le 8 avril 1968 à Cinecittà , avec la scène d’amour entre Jill et Frank. Le clap de fin sera donné en juillet. Claudia Cardinal – Il était une fois dans l’Ouest – Copyright Paramount L’accueil Coproduction italo-américaine, C’era una volta il West sort en décembre 1968 en Italie. Malgré le très bon accueil du public italien, le film ne connaîtra pas le même engouement que les trois précédents westerns de Leone. Aux États-Unis, il est présenté à New York en avant première dans deux salles le 25 mai 1969, avant sa sortie dans 24 salles, le 16 juillet. Afin de gagner une séance de plus par jour, Paramount invoque l’accueil mitigé lors de la première pour procéder à des coupures 20 minutes d’après certaines sources, 30 selon d’autres qui dénaturent l’œuvre. Cette version dite internationale » connaîtra l’échec sur le marché anglo-saxon. Sur le territoire étasunien il ne fera que 1/6ème des recettes du Bon, La Brute et Le Truand, plus rapide et moins bavard ». L’assassinat d’un enfant et le rôle à contre-emploi d’Henry Fonda peuvent expliquer cet échec commercial. Il Etait une fois dans l’Ouest, dans sa copie intégrale, sera pourtant un succès au box-office international, notamment en France et en Allemagne, dès sa sortie en 1969. Pour la critique, tant aux États-Unis que dans les pays où le film est distribué, en dehors de quelques exceptions, les avis sont mitigés voire hostiles. Parmi les réactions négatives, il a été reproché à Sergio Leone d’avoir usurpé et dénaturé l’histoire de l’Ouest américain, alors qu’en fait il détournait les conventions du western. Cependant, au fil du temps, à l’image de 2001 L’Odyssée de l’espace, de Stanley Kubrick, le film va être apprécié à sa juste valeur. Plusieurs critiques vont même revenir sur leur jugement initial et reconnaître leur erreur cf Jean A. Gili ci-dessous. Il était une fois la Révolution sortira en 1971 et Il était une fois en Amérique en 1984. Le dernier volet de sa seconde trilogie et son dernier film. Victime d’une crise cardiaque, Sergio Leone meurt à Rome le 30 avril 1989 sans avoir pu mener à bien son projet sur le siège de Leningrad pendant la Seconde Guerre mondiale. Il était une fois dans l’Ouest – Charles Bronson, Claudia Cardinale, Sergio Leone – Copyright Paramount Le cinéma de Sergio Leone Le cinéaste déclara un jour Ennio Morricone n’est pas mon musicien. Il est mon scénariste. J’ai toujours remplacé les mauvais dialogues par de la musique, soulignant un regard. » À l’instar de ses autres autres longs métrages, la musique du compositeur est indissociable du film. Composés en amont, les morceaux musicaux de Il Etait une fois dans l’Ouest étaient joués sur le plateau avant ou pendant le tournage afin de mettre les acteurs dans l’ambiance, de créer des rythmes ». À chaque personnage correspondait un thème. Ainsi l’homme à l’harmonica » est-il personnifié par les quelques notes stridentes de son instrument. Mais Leone jongle aussi avec des moments quasi silencieux, comme dans la scène d’ouverture, la longue attente des trois tueurs sur le quai de la gare, où l’on n’entend qu’une mouche bourdonner, des gouttes d’eau tomber sur un chapeau ou des articulations de doigts craquer. Le souci poussé des détails réalistes, qui ne doivent pas être confondus avec l’exactitude historique » précisait Leone, le rythme lent, le temps dilaté, à un tel point qu’il en devient presque irréel ou l’alternance de plans larges le trajet de la carriole à Monument Valley » et de très gros plans, notamment sur le regard des personnages, sont quelques-unes des autres caractéristiques du cinéma de Sergio Leone.
PinterestExploreWhen autocomplete results are available use up and down arrows to review and enter to select. Touch device users, explore by touch or with swipe Pins 2yCollection by Stéphane GuillemotSimilar ideas popular nowActressesMovie DirectorsHollywoodKatharine RossClaudia CardinaleAnjelica HustonJulie ChristieJanet LeighShirley MaclaineFilm PicturesFaye DunawaySpaghetti WesternClaudia CardinaleCharles BronsonNarvikWesternsVietnam VeteransVietnam WarDieselpunkCinema WesternWestern FilmHenry Fonda, Claudia Cardinale , Sergio Leone, Charles Bronson et Jason Robards. "Il était une fois dans l'Ouest" de Sergio Leone. WomenLuchino ViscontiBlake EdwardsSergio LeoneGina LollobrigidaCinemaOnce Upon A TimeClaudia Cardinale, Once Upon a Time in the West, 1968Benjamin Koberil était une fois dans l'ouestAnn MargretNatalie WoodItalian BeautyItalian StyleItalian WomenItalian GirlsSteve McqueenVincent CasselClaudia CardinaleTerry O NeillBridget BardotBrigitte BardotClassic HollywoodOld HollywoodMonica BelluciJacqueline BissetClaudia Cardinale - 1971Film Posters VintageVintage FilmVintage LadiesStar WarsPhoto C'era una volta il West était une fois dans l'ouestWestern SpaghettiDivasHenry FondaItalian ActressClaudia Cardinale in "Once Upon a Time in the West" 1968Nagy Monika Isaboil était une fois dans l'ouestJane FondaCelebrity Wedding PhotosCelebrity WeddingsBridgette BardotClaudia Cardinale ~ ORIG 1969 scene portrait... Once Upon a Time in the West eBayWestern ComicsBeauty IconsClint EastwoodC & CClaudia Cardinale Once Upon a Time in the WestFemale ActressesActors & ActressesStunning WomenAbsolutely StunningBeautiful LadiesBeautiful PeopleClaudia Cardinale Born in Tunis from Italian parents this absolutely stunning woman excelled mainly in European movies during the sixties and Once upon the West being the one of the best Western movies ever MovieFotografiaClaudia... Once Upon a TimeWestern MoviesVintage WesternONCE UPON A TIME IN THE WEST CLAUDIA CARDINALE 8X10 PHOTO E1075 eBayMcbainClaudeBeautiful ActressesMonicaJillPremiereClaudia Cardinale Once Upon a Time in the WestQuentin TarantinoGangster FilmsClaudia Cardinale as Jill McBain in Once Upon a Time in the West 1969 ...Vintage BeautyFrank ZappaMost Popular PeopleClaudia Cardinale - Page 6Western CostumesCLAUDIA CARDINALE ONCE UPON A TIME IN THE WEST 1969 VINTAGE LOBBY CARD 2 eBaySoundtrackFilmMost BeautifulBeautiful WomenBeautiful ThingsBeauty PageantTimeless BeautyPicture of Claudia CardinaleCarneDer LeopardWoman MovieOld Hollywood GlamourClaudia Cardinale in Once Upon a Time in the West 1964Martin Csontofalszkiil était une fois dans l'ouestLove Actually 2003Learn To Speak ItalianMovie MarketCandice BergenCLAUDIA CARDINALE PHOTO ONCE UPON A TIME IN THE WEST eBayHollywood IconsHollywood StarsOrnella MutiClassic Movie StarsPhotography WomenBeauty FullClaudia Cardinale. Scene from Once Upon a Time in the West. PinterestRevere Pewter Benjamin MooreBenjamin Moore WhiteClassic BeautySandy Hook GrayEdgecomb GrayNon Plus Ultra52427808 - Cardinale, Claudia - Other Famous PeopleClaudia Cardinale
Il était une fois dans l'Ouest de Sergio Leone — Splendor Films La construction du chemin de fer, la beauté de , l’harmonica de , le regard d’acier d’ , le sourire de et la partition d’ sont des éléments emblématiques d’Il était une fois dans l’Ouest 1968.20 Minutes a recensé six faits moins connus sur ce classique du western dit spaghetti » signé . , biographe du réalisateur, permet d’en savoir plus avant de redécouvrir ce chef-d’œuvre indémodable sur grand coscénaristes prestigieuxC’est à Bernardo Bertolucci, réalisateur du 1972 ou du 1987, et à Dario Argento, réalisateur de 1987, que l’on doit le scénario diabolique du film, sans que l’on sache qui est réellement le responsable d’un dénouement particulièrement retors. 2/Clint Eastwood aux abonnés absentsSergio Leone souhaitait que et ses partenaires du Bon, la Brute et le Truand, son précédent film, viennent faire une apparition dans la scène de début où Charles Bronson débarque à la gare. Suite à une brouille avec le réalisateur, Clint a refusé et Sergio a abandonné l’ Fonda s’est fait tirer l’oreilleHenry Fonda n’était pas enthousiaste à l’idée de jouer le méchant glacial qui massacre une famille dès la première scène. Il a fallu l’intervention son ami pour le convaincre qu’il ne fallait pas laisser passer l’occasion. L’acteur a essayé de porter des lentilles pour cacher ses légendaires yeux bleus mais Leone l’a obligé à les l’influence de John FordSi une partie du film est tournée en Espagne, Sergio Leone a tenu à filmer à aux Etats-Unis. Il tenait à rendre hommage au maître du western américain . Il connaissait parfaitement le décor sans l’avoir jamais visité grâce à des films comme 1939. 5/Le film a coûté une fortuneLe décor de la ville en construction dans laquelle débarque Claudia Cardinale a coûté dollars soit davantage que le budget total de 1964, son premier film que Sergio Leone signa à l’époque sous le pseudonyme Robert rapports entre Leone et Morricone furent difficilesSergio Leone et son compositeur ont eu du mal à obtenir la partition légendaire du film. Le réalisateur aurait fait refaire sa musique une vingtaine de fois à Morricone avant de déclarer satisfait. Il la faisait jouer sur le plateau afin que les comédiens puissent s’en imprégner pendant le tournage.
regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Il était une fois dans l'Ouest est un film de Sergio Leone sorti en 1968. Ce film est considéré comme l'un des chefs-d'œuvre du genre western spaghetti qui a permis un renouveau du western. Synopsis[] Alors qu'il prépare une fête pour l'arrivée de sa femme qu'il a épousée un mois plus tôt à La Nouvelle-Orléans, Bet McBain est tué avec ses trois enfants par Frank et ses complices. Jill McBain hérite alors des terres de son mari, convoitées par Morton, le commanditaire du meurtre. Mais les soupçons se portent sur un hors-la-loi, le Cheyenne… Ce dernier, ainsi qu'Harmonica, un étranger qui semble avoir quelque chose à régler avec Frank, partiront régler leurs comptes. Il était une fois dans l'Ouest est un film dont l'action se passe lors de la conquête de l'ouest américain. Il tourne autour de la construction du chemin de fer et met en scène divers personnages représentatifs des westerns classiques pour mieux les détourner. Sergio Leone en fait une œuvre imposante et personnelle, ce qui serait la raison de son échec commercial aux contrairement à l'Europe qui lui a fait un triomphe. Claudia Cardinale hérite d'un rôle de tenancière au grand cœur, Jason Robards celui de l'aventurier sans scrupule qui trouvera la rédemption, Henry Fonda la crapule embauchée par le boss du chemin de fer pour hâter sa construction et Charles Bronson dans le rôle du vengeur silencieux au passé trouble. Distribution[] Charles Bronson VF Claude Bertrand l'homme à l'harmonica Henry Fonda VF Raymond Loyer Frank Claudia Cardinale VF Michèle Bardollet Jill McBain Jason Robards VF René Arrieu Manuel Gutierrez dit Cheyenne Frank Wolff VF Henri Poirier Brett McBain Lionel Stander VF Gérard Darrieu le barman Keenan Wynn VF Louis Arbessier le shérif de Flagstone Gabriele Ferzetti VF Jean-Henri Chambois Morton patron du chemin de fer Paolo Stoppa VF Jean Clarieux Sam Jack Elam VF Pierre Collet Snaky membre du gang de Frank Woody Strode Stony membre du gang de Frank Al Mulloch Knuckles membre du gang de Frank Enzo Santaniello Timmy McBain l'enfant assassiné par Frank Marilù Carteny Maureen McBain Marco Zuanelli Wobbles Fiche technique[] Titre Il était une fois dans l'Ouest Titre original C'era una volta il West Titre anglais Once Upon a Time in the West Réalisation Sergio Leone Scénario Dario Argento, Bernardo Bertolucci, Sergio Donati, Sergio Leone Photographie Tonino Delli Colli Musique Ennio Morricone Production Fulvio Morsella Distribution Pays d'origine Italie et États-Unis Durée 165 minutes Film interdit aux moins de 13 ans à sa sortie en France, sans interdiction de nos jours. Dates de sortie Italie 21 décembre 1968 France 27 août 1969 Autour du film[] Ce film, le premier volet du triptyque américain Il était une fois… », permet à Leone de revisiter le mythe de l’Ouest américain et de lui rendre une vérité altérée par les conventions du cinéma américain au nom d’un plus grand souci de réalisme. Leone s’est toujours étonné, entre autres reproches qu’il adressait aux westerns classiques, qu’on ne montre pas, par exemple, la réalité de l’impact d’une balle qui faisait un trou énorme dans le corps de la victime et la projetait à plusieurs mètres en arrière. Ou encore, qu’on atténue la violence extrême de cette époque qui voyait pourtant un tueur exhiber les oreilles coupées de ses ennemis pour imposer le respect ! Le passage entre les deux époques est d’ailleurs parfaitement symbolisé par la construction du train qui relie non seulement deux espaces l'Est et l'Ouest, mais aussi deux temps, celui des Pionniers du Far West qui s’efface peu à peu devant celui de la Civilisation moderne. L’un des intérêts du scénario, écrit, entre autres, par Bertolucci et Argento, est d’en montrer les répercussions sur les personnages eux-mêmes qui n’ont d’autre choix que de disparaître ou de s’adapter. Trois d’entre eux ne s’intègrent pas et sont appelés à s’effacer. C’est d’abord Franck, hors-la-loi, chef de bande et rebelle à toute légalité, qui représente une époque révolue car, désormais, la Loi se généralise. Le bandit généreux, Cheyenne, dont le romantisme n’a plus sa place dans une société devenue mercantile. C’est enfin Harmonica dont le mode de vie fondé sur le sens de la justice et le goût pour la solitude ne peut s’accommoder d’un monde de plus en plus organisé et collectif. On songe, à son propos, au beau mouvement de camera qui, par un travelling circulaire, donne à voir, en un plan de plus en plus général, le chantier du chemin de fer, puis les dizaines d’ouvriers au travail et le personnage de Harmonica qui s’y fond comme s’il disparaissait en tant qu’individu, comme s’il s’agissait de la fin de l’individu. Jill, la prostituée interprétée par Claudia Cardinale, prête à tout pour survivre, est la seule à réussir ce passage entre l’ancien et le nouveau monde, la prostitution étant ici montrée comme éternelle. La séquence finale, qui la montre donnant de l’eau aux ouvriers, signifie sans doute la fidélité à ses origines , car elle choisit les ouvriers exploités et humiliés comme elle en même temps que son adaptabilité, les ouvriers construisant l’ avenir. Le propos de Leone est transparent et se veut virile se transforme ainsi ainsi une Amérique fondée sur le matriarcat. En effet ’à l’époque de la réalisation du film le Women Liberation » connaissait son apogée aux États-Unis. Il faut remarquer que c’est dans un cercle final, l’arène de la vie, que Leone réunit et enferme ses personnages essentiels et exprime le moment de vérité du film qui se conclut, de façon la plus classique, par le duel inhérent à tout western. Les thèmes du film et c’est une constante chez Leone, sont par ailleurs magnifiés par une mise en scène savante et toujours spectaculaire illustrée d’un accompagnement musical expressif. On reverra avec un grand plaisir la séquence initiale, devenue mythique, des trois tueurs qui attendent le train et Harmonica avec ses gros plans et très gros plans sur des regards ou des détails inattendus, craquement des doigts, mouches emprisonnées dans le canon du colt, gouttes d’eau sur le chapeau, roue de l’éolienne qui grince, et exaspérants qui immobilisent le temps avant de le dilater et de faire sourdre l’accablement et l’ennui. Le film multiplie les savants cadrages et installe dans l’espace les personnages d’une façon souvent saisissante fréquentes plongées ou contre plongées, caméra placée sous un angle insolite allongeant, par exemple, les silhouettes ou remplissant l’écran d’yeux présentés en très gros plans. Les combats sont filmés en deux temps comme autant de ballets d’abord, une lente montée de l’attente qui accroît la tension avant que l’exaspération des nerfs n’explose dans les coups de feu. L’accompagnement musical, lui aussi très célèbre de Morricone souligne et accentue les effets, de sorte que la théâtralisation de l’image et la musique très expressive font nécessairement penser à un grand opéra baroque. La musique et l'image procèdent en effet l’une de l’autre, se nourrissent l’une de l’autre. Il suffit d’évoquer la terrible séquence des deux frères, l’aîné juché sur les épaules de son cadet jouant de l’harmonica, dont toute la force provient précisément de cette alliance intime entre ce qui est montré au travers d’une image saisissante et ce qui est entendu dans une partition musicale qui joue, de façon insupportable, sur les nerfs par son lent crescendo lancinant de notes d’harmonica qui finit par éclater dans une envolée sonore lourdement appuyée par les cuivres. Ce film devenu culte qui insiste sur le passage entre deux époques et dont la tonalité de désenchantement se prolongera dans Il était une fois la Révolution » annonce, par le double thème du duo et de la désillusion, ce qui sera le chef-d’œuvre de Leone Il était une fois en Amérique ». Les trois films, sans être des suites, sont toutefois à voir dans l’ordre chronologique. Sergio Leone, qui avait déjà essayé d'engager — sans succès — Charles Bronson dans les films Pour une poignée de dollars et Le Bon, la Brute et le Truand, obtint enfin son accord pour interpréter Harmonica. Cet indien obnubilé par son désir de venger son frère assassiné par Frank, l'impitoyable tueur joué avec conviction par Henry Fonda. Leone tenait absolument à avoir Fonda pour le rôle de Frank, contre-emploi des rôles de braves types honnêtes qui firent sa renommée. Au tout début du tournage, à l'arrivée de Fonda, Leone, le voyant arriver avec des lentilles de couleur et une barbe, voulut immédiatement le remplacer. Mais après avoir été maquillé et habillé, celui-ci convainquit le réalisateur sans dire un seul mot. Pour la scène du début avec les trois tueurs, Leone désirait, en forme de clin d'œil, les faire jouer par les trois protagonistes du Bon, la brute et le truand Lee Van Cleef, Eli Wallach et Clint Eastwood. Mais Eastwood, dont la notoriété commençait à grandir, refusa. L'un de ces gredins est joué par Jack Elam, second couteau dont le strabisme sert admirablement cette scène. L'acteur noir qui apparait dans cette scène est lui Woody Strode, devenu célèbre dans le monde du western pour avoir joué le Sergent noir de John Ford. Le dernier larron, Al Mullock est également une tête connue puisqu'on le voit en tant que chasseur de primes manchot dans Le Bon, la Brute et le Truand. [1] La musique du film a été composée et dirigée par Ennio Morricone, complice de tous les instants de Sergio Leone. Selon certaines interviews du compositeur, Leone lui aurait fait refaire le travail vingt fois avant de se déclarer satisfait. La musique était jouée sur le plateau durant le tournage afin de mieux imprégner les acteurs. La bande originale resta très longtemps en tête des hit-parades. Elle est conçue autour de quatre thèmes pour les quatre personnages principaux Jill, Harmonica, Frank et Cheyenne. C'est le premier film d'une trilogie qui comprend ensuite Il était une fois la révolution et Il était une fois en Amérique. Le film fait suite au succès du Bon, la Brute et le Truand, des producteurs américains commandent ce deuxième volet. Après Le Bon, la Brute et le Truand, Leone ne voulait plus refaire de western et avait commencé à préparer le tournage d' Il était une fois en Amérique. C'est aux États-Unis, où il voulait commencer à produire, qu'on lui a suggéré de faire un autre western avant. C'est alors qu'il eut l'idée de faire la triloge Il était une fois.... C'est Bernardo Bertolucci qui a proposé à Leone de centrer l'histoire du film sur un personnage féminin. Dans ce film, Claudia Cardinale et Paolo Stoppa font la plus longue randonnée de buggy de l'histoire du cinéma. Elle commence en Espagne et passe par Monument Valley en Arizona. Elle se termine à la demeure des McBain, dont les séquences ont été tournées à Almeria, en Espagne. La demeure des McBain était le restant du décor d'un village médiéval construit pour le film Falstaff d'Orson Welles en 1965. Leone l'a racheté puis restauré. L'actrice qui fait la femme indienne qui s'enfuit de la gare en séquence d'ouverture est en réalité d'origine hawaienne. Il s'agit de la femme de Woody Strode. Les scènes intérieures de l'établissement de Lionel Stander, situé dans Monument Valley, a été tourné à Rome aux studios Cinecitta. Lorsque les hommes de Cheyenne y pénètrent, on aperçoit un nuage de poussière rouge. Cette poussière a été importée de Monument Valley afin de donner plus de réalités à la scène. Jason Robards est arrivé complètement ivre le premier jour du tournage et Sergio Leone a menacé de le mettre à la porte s'il recommençait. Par la suite, il s'est bien comporté et n'a plus fait de problèmes sauf le jour de l'annonce de l'assassinat de Robert Kennedy. Il obligea alors Leone à arrêter le tournage pour le reste de la journée. Al Mulloch, qui joue l'un des trois truands du début celui qui se craque les doigts, s'est suicidé pendant le tournage en sautant par la fenêtre de son hôtel, habillé du même costume qu'il portait dans le film. Le scénariste Mickey Knox et le directeur de production Claudio Mancini, qui étaient assis dans une des chambres de l'hôtel, l'ont vu passer de leur fenêtre. La première réaction de Sergio Leone a été d'exiger de ravoir le costume de scène, ce qui a choqué certains membres de l'équipe de tournage. Le tournage s'est déroulé d'avril à juillet 1968. Le film a été tourné à Monument Valley en Arizona, dans la région de Moab en Utah ainsi qu'à La Calahorra et à Tabernas en Andalousie. Références[] ↑ Ce dernier se suicida d'ailleurs pendant le tournage du film en sautant par la fênetre de la chambre de son hôtel à Guadix en Espagne. fr/en [
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